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Sacem, SNAC, UNAC, CSDEM, CEMF, Universal, Fnac, Virgin : les critiques se multiplient contre l'amendement à la loi DADVSI voté mercredi soir par les députés...
Le P2P reste un sujet passionnel. Après un début de semaine dominé par l'expression des associations "anti DADVSI", le vote par les députés d'un amendement à cette loi consistant à légaliser le P2P et à établir une licence globale, suscite une seconde levée de boucliers de la part des partisans au projet de loi initial du gouvernement.
Après des marchands comme la FNAC ou Virgin puis la maison de disque Universal, c'est au tour d'associations comme la SACEM, la SNAC (auteurs compositeurs) de critiquer le premier vote des députés et de réclamer un second vote, pour défendre la création française.
"La licence globale ne peut qu'appauvrir la patrimoine artistique et, à terme, tarir la source même de la création" explique la SNAC dans un communiqué. "Jusqu'à hier, fière d'être le pays qui inventa le droit d'auteur, la France pourrait devenir demain la seule nation au monde qui "brade" et "soviétise" la création" ironise de son côté la SACEM.
Réunis à l'assemblée nationale, les députés sont néanmoins invités à réexaminer le texte cette après midi. Entre l'intérêt des internautes, l'intérêt des artistes et l'intérêt des industries culturelles, ces derniers auront ainsi la lourde tâche de défendre l'intérêt ...général.
Le P2P reste un sujet passionnel. Après un début de semaine dominé par l'expression des associations "anti DADVSI", le vote par les députés d'un amendement à cette loi consistant à légaliser le P2P et à établir une licence globale, suscite une seconde levée de boucliers de la part des partisans au projet de loi initial du gouvernement.
Après des marchands comme la FNAC ou Virgin puis la maison de disque Universal, c'est au tour d'associations comme la SACEM, la SNAC (auteurs compositeurs) de critiquer le premier vote des députés et de réclamer un second vote, pour défendre la création française.
"La licence globale ne peut qu'appauvrir la patrimoine artistique et, à terme, tarir la source même de la création" explique la SNAC dans un communiqué. "Jusqu'à hier, fière d'être le pays qui inventa le droit d'auteur, la France pourrait devenir demain la seule nation au monde qui "brade" et "soviétise" la création" ironise de son côté la SACEM.
Réunis à l'assemblée nationale, les députés sont néanmoins invités à réexaminer le texte cette après midi. Entre l'intérêt des internautes, l'intérêt des artistes et l'intérêt des industries culturelles, ces derniers auront ainsi la lourde tâche de défendre l'intérêt ...général.