0
Nouveau Ministre de l'économie, Thierry BRETON ouvre les portes du Palais du Luxembourg à Steve BALLMER, DG de Microsoft, pour parler innovation
Après les 300 bloggers réunis par Loïc LeMeur le lundi, le Sénat est à nouveau au cœur de la neteconomie tricolore. Nouveau Ministre de l'économie et ancien patron de et de , Thierry BRETON a ouvert les portes du Palais du Luxembourg mardi matin à Steve BALLMER, directeur général de Microsoft, pour parler innovation.
Organisé sous l'égide de l'EBG et du Club Sénat, les deux invités étaient invités à réfléchir à "l'Impact économique des technologies de l'information" sur la société française. S'exprimant dans un excellent français, Steve BALLMER a rappelé l'importance du logiciel dans l'économie, l'engagement de Microsoft en matière d'innovation et a évoqué l'ouverture d'un centre de recherche en France, en partenariat avec l'INRIA.
De son côté, Thierry BRETON a rappelé que la France disposait d'excellents mathématiciens et informaticiens, qu'elle devenait un leader technologique avec le meilleur taux d'équipement en haut débit en Europe avec 7 millions d'abonnés et qu'il veillerait personnellement au développement de jeunes pousses technologiques avec de nouvelles mesure visant à faciliter leur financement. Tout en insistant sur la nécessité de conserver un tissu industriel, Thierry BRETON a souligné l'importance pour la France d'investir dans l'immatériel, un quatrième espace aussi important à ses yeux que l'espace territorial, l'espace aérien ou l'espace maritime.
Tandis que Steve BALLMER, s'est dit ravi du dialogue avec les autorités françaises qu'il souhaite le "plus constructif possible", Thierry BRETON s'est déclaré "heureux de la présence de Microsoft dans le tissu industriel français" tout en espérant la naissance de nombreuses start-up tricolores dans le sillage de ce grand groupe informatique.
Reste à savoir si l'engagement de microsoft auprès de l'INRIA permettra de mettre un terme au paradoxe français, un pays très présent dans l'univers des services informatiques mais relativement discret dans celui du logiciel à l'exception de trop rares succès internationaux comme Dassault Système ou .
Après les 300 bloggers réunis par Loïc LeMeur le lundi, le Sénat est à nouveau au cœur de la neteconomie tricolore. Nouveau Ministre de l'économie et ancien patron de et de , Thierry BRETON a ouvert les portes du Palais du Luxembourg mardi matin à Steve BALLMER, directeur général de Microsoft, pour parler innovation.
Organisé sous l'égide de l'EBG et du Club Sénat, les deux invités étaient invités à réfléchir à "l'Impact économique des technologies de l'information" sur la société française. S'exprimant dans un excellent français, Steve BALLMER a rappelé l'importance du logiciel dans l'économie, l'engagement de Microsoft en matière d'innovation et a évoqué l'ouverture d'un centre de recherche en France, en partenariat avec l'INRIA.
De son côté, Thierry BRETON a rappelé que la France disposait d'excellents mathématiciens et informaticiens, qu'elle devenait un leader technologique avec le meilleur taux d'équipement en haut débit en Europe avec 7 millions d'abonnés et qu'il veillerait personnellement au développement de jeunes pousses technologiques avec de nouvelles mesure visant à faciliter leur financement. Tout en insistant sur la nécessité de conserver un tissu industriel, Thierry BRETON a souligné l'importance pour la France d'investir dans l'immatériel, un quatrième espace aussi important à ses yeux que l'espace territorial, l'espace aérien ou l'espace maritime.
Tandis que Steve BALLMER, s'est dit ravi du dialogue avec les autorités françaises qu'il souhaite le "plus constructif possible", Thierry BRETON s'est déclaré "heureux de la présence de Microsoft dans le tissu industriel français" tout en espérant la naissance de nombreuses start-up tricolores dans le sillage de ce grand groupe informatique.
Reste à savoir si l'engagement de microsoft auprès de l'INRIA permettra de mettre un terme au paradoxe français, un pays très présent dans l'univers des services informatiques mais relativement discret dans celui du logiciel à l'exception de trop rares succès internationaux comme Dassault Système ou .
