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Après CoraMusic, c'est au tour du kiosque VirginMega de mettre en place un dispositif de cartes prépayées dans ses points de vente traditionnels.
Les internautes n'achètent pas uniquement sur le net ! Après CoraMusic, c'est au tour du kiosque de téléchargement VirginMega (groupe Lagardère) de mettre en place un dispositif de cartes prépayées dans ses points de vente traditionnels.
Dès le 17 Mars, 100 000 cartes de téléchargement sont disponibles dans l'un des 35 Virgin Megastore. Vendues 9,99 €, elles permettent de télécharger dix titres ou un album à partir du catalogue de 600 000 titres proposé par VirginMega.fr
"Nous avons souhaité mettre à disposition des internautes une nouvelle manière de découvrir le téléchargement légal de musique. Cette solution souple, accessible à tous et totalement sécurisée permettra d'acheter en magasin la musique que vous voulez écouter chez vous." explique simplement Laurent Fiscal, directeur général de VirginMega.
Pour éviter que des consommateurs indélicats puissent lire un code imprimé sur une carte à gratter, VirginMega a placé ce dernier directement sur le ticket de caisse, de sorte qu'il soit pratiquement impossible de frauder. Ce code est unique et peut même être associé au téléchargement d'un fichier précis, commandé à l'avance, tandis que les solutions prépayées habituelles en sont incapables.
Pour 2005, VirginMega réfléchit au développement communautaire de son site avec par exemple le partage des playlists, travaille à l'élargissement de son catalogue (600 000 titres aujourd'hui, peut-être un million fin 2005), travaille sur de nouveaux produits comme le téléchargement de vidéos musicales, de nouveaux canaux comme le téléchargement de titres complet sur téléphones mobiles et sur de nouvelles formules commerciales avec des bundles sonnerie + fichier musical ou encore sur de la promotion croisée avec Pepsi cola.
Selon la dernière étude Mediametrie, VirginMega est désormais le premier kiosque de téléchargement en France (en audience) devant ses concurrents iTunes, E-compil, Fnacmusic ou encore OD2. Avec un budget de communication de 3 millions d'euros, la société mise sur la pédagogie pour inviter les internautes à ne plus fréquenter les plates-formes P2P.
Les internautes n'achètent pas uniquement sur le net ! Après CoraMusic, c'est au tour du kiosque de téléchargement VirginMega (groupe Lagardère) de mettre en place un dispositif de cartes prépayées dans ses points de vente traditionnels.
Dès le 17 Mars, 100 000 cartes de téléchargement sont disponibles dans l'un des 35 Virgin Megastore. Vendues 9,99 €, elles permettent de télécharger dix titres ou un album à partir du catalogue de 600 000 titres proposé par VirginMega.fr
"Nous avons souhaité mettre à disposition des internautes une nouvelle manière de découvrir le téléchargement légal de musique. Cette solution souple, accessible à tous et totalement sécurisée permettra d'acheter en magasin la musique que vous voulez écouter chez vous." explique simplement Laurent Fiscal, directeur général de VirginMega.
Pour éviter que des consommateurs indélicats puissent lire un code imprimé sur une carte à gratter, VirginMega a placé ce dernier directement sur le ticket de caisse, de sorte qu'il soit pratiquement impossible de frauder. Ce code est unique et peut même être associé au téléchargement d'un fichier précis, commandé à l'avance, tandis que les solutions prépayées habituelles en sont incapables.
Pour 2005, VirginMega réfléchit au développement communautaire de son site avec par exemple le partage des playlists, travaille à l'élargissement de son catalogue (600 000 titres aujourd'hui, peut-être un million fin 2005), travaille sur de nouveaux produits comme le téléchargement de vidéos musicales, de nouveaux canaux comme le téléchargement de titres complet sur téléphones mobiles et sur de nouvelles formules commerciales avec des bundles sonnerie + fichier musical ou encore sur de la promotion croisée avec Pepsi cola.
Selon la dernière étude Mediametrie, VirginMega est désormais le premier kiosque de téléchargement en France (en audience) devant ses concurrents iTunes, E-compil, Fnacmusic ou encore OD2. Avec un budget de communication de 3 millions d'euros, la société mise sur la pédagogie pour inviter les internautes à ne plus fréquenter les plates-formes P2P.
