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Mardi, le Comité interministériel pour l'aménagement du territoire a précisé les objectifs de couverture Internet haut débit de la France.
Lors du Comité interministériel pour l'aménagement du territoire (CIADT) réuni à Matignon le 14 septembre 2004, Jean-Pierre RAFFARIN a réitéré son engagement en faveur de la couverture haut débit de la France.
Dans le cadre du plan RE/SO 2007, a déclaré le Premier ministre, il convient d'affiner les objectifs afin de "mieux tenir compte des spécificités et de la taille des communes".
Le gouvernement souhaite que soit assurée pour la fin 2005 la couverture Internet à 500 kbits/s (voie descendante) de 95% de la population nationale (70% dans les départements), et la couverture à des débits pouvant atteindre 2 Mb/s pour 85% de la population.
Jean-Pierre RAFFARIN a souligné que développement du haut débit, "conditionne l'attractivité, la compétitivité et le désenclavement des territoires".
Il faut également rappeler que la réforme de l'Etat, chère au Président CHIRAC, passe notamment par la montée en puissance de l'administration électronique. Les services publics en ligne se doivent, par conséquent, d'être accessibles au plus grand nombre.
Pour la fin de l'année 2007, chaque commune devrait pouvoir disposer de solutions permettant à 80% de ses habitants d'accéder à l'Internet à 2 Mb/s, voire 5 Mb/s, à de la téléphonie fixe sous IP et de la télévision numérique via ADSL (offre triple).
Par ailleurs, le gouvernement souhaite la couverture à très haut débit (100 Mb/s "pour un coût acceptable") des principales zones d'activités économiques (ZAE) - France Télécom vient de faire une annonce en ce sens...
A ce jour plus de 20 000 communes françaises ont "totalement ou partiellement" accès à des connexions permanentes à Internet, soit une couverture de 83% de la population de France.
Alors qu'en "zone dégroupée" le FAI Free propose une offre d'accès haut débit pouvant officiellement atteindre 5 Mb/s et que des opérateurs comme France Télécom et Neuf préparent le déploiement de connexions de 10 Mb/s à 25 Mb/s, "les communes rurales et les quartiers éloignés des répartiteurs téléphoniques" restent à la porte du monde numérique.
Lors du Comité interministériel pour l'aménagement du territoire (CIADT) réuni à Matignon le 14 septembre 2004, Jean-Pierre RAFFARIN a réitéré son engagement en faveur de la couverture haut débit de la France.
Dans le cadre du plan RE/SO 2007, a déclaré le Premier ministre, il convient d'affiner les objectifs afin de "mieux tenir compte des spécificités et de la taille des communes".
Le gouvernement souhaite que soit assurée pour la fin 2005 la couverture Internet à 500 kbits/s (voie descendante) de 95% de la population nationale (70% dans les départements), et la couverture à des débits pouvant atteindre 2 Mb/s pour 85% de la population.
Jean-Pierre RAFFARIN a souligné que développement du haut débit, "conditionne l'attractivité, la compétitivité et le désenclavement des territoires".
Il faut également rappeler que la réforme de l'Etat, chère au Président CHIRAC, passe notamment par la montée en puissance de l'administration électronique. Les services publics en ligne se doivent, par conséquent, d'être accessibles au plus grand nombre.
Pour la fin de l'année 2007, chaque commune devrait pouvoir disposer de solutions permettant à 80% de ses habitants d'accéder à l'Internet à 2 Mb/s, voire 5 Mb/s, à de la téléphonie fixe sous IP et de la télévision numérique via ADSL (offre triple).
Par ailleurs, le gouvernement souhaite la couverture à très haut débit (100 Mb/s "pour un coût acceptable") des principales zones d'activités économiques (ZAE) - France Télécom vient de faire une annonce en ce sens...
A ce jour plus de 20 000 communes françaises ont "totalement ou partiellement" accès à des connexions permanentes à Internet, soit une couverture de 83% de la population de France.
Alors qu'en "zone dégroupée" le FAI Free propose une offre d'accès haut débit pouvant officiellement atteindre 5 Mb/s et que des opérateurs comme France Télécom et Neuf préparent le déploiement de connexions de 10 Mb/s à 25 Mb/s, "les communes rurales et les quartiers éloignés des répartiteurs téléphoniques" restent à la porte du monde numérique.
