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Après avoir racheté le pionnier des échanges de fichiers musicaux Napster, l'éditeur de logiciels américain Roxio se recentre sur la vente de musique en ligne.
La bataille dans la vente de musique en ligne va-t-elle s'intensifier ? Alors qu'Apple domine le marché avec son offre iTunes Music Store couplée à son iPod, Roxio, propriétaire de Napster, semble organiser la riposte !
La firme américaine, notamment éditrice de logiciels destinés au grand public pour la gravure de CD et DVD et le traitement de photo et de vidéo, cède sa division logiciels à Sonic Solutions pour 80 millions de dollars, dont 10 millions en actions Sonic.
Alors que Sonic compte garder la marque Roxio, et les employés de la division, l'éditeur américain recentre ses activités sur la musique en ligne et prend officiellement le nom de Napster. Ce pionnier des échanges musicaux au format MP3 avait été racheté par Roxio, pour 5 millions de dollars, en novembre 2002, afin d'en faire un service légal de téléchargement de musique payante.
Après avoir réussi à passer des accords avec les cinq majors de l'édition musicale, notamment après le rachat de Pressplay, le service Napster avait été relancé aux Etats-Unis, puis en Angleterre en mai dernier, proposant environ 750.000 titres en téléchargement d'Eminem à Miles Davis.
Cependant si la firme fait le pari de la musique en ligne, la concurrence devrait s'avérer difficile. Après avoir été relancé sous une forme légale, Napster affichait 10 millions de chansons vendues mi-juin alors qu'Apple se targuait d'avoir passé le cap des 100 millions de téléchargements fin juillet.
Contrairement à Apple qui privilégie la vente au titre, Napster engrange la plus grande partie de son chiffre d'affaires via sa formule d'abonnement.
Toujours dans la même logique de fidélisation, Napster s'orienterait davantage vers le modèle de la téléphonie mobile, subventionnant le terminal d'écoute, offert à ses abonnés quand Apple se sert de sa boutique de musique en ligne pour vendre des iPod.
Stratégies différentes, on peut se demander qui détient la recette miracle ? Au final, c'est peut être le consommateur qui tranchera la question...
La bataille dans la vente de musique en ligne va-t-elle s'intensifier ? Alors qu'Apple domine le marché avec son offre iTunes Music Store couplée à son iPod, Roxio, propriétaire de Napster, semble organiser la riposte !
La firme américaine, notamment éditrice de logiciels destinés au grand public pour la gravure de CD et DVD et le traitement de photo et de vidéo, cède sa division logiciels à Sonic Solutions pour 80 millions de dollars, dont 10 millions en actions Sonic.
Alors que Sonic compte garder la marque Roxio, et les employés de la division, l'éditeur américain recentre ses activités sur la musique en ligne et prend officiellement le nom de Napster. Ce pionnier des échanges musicaux au format MP3 avait été racheté par Roxio, pour 5 millions de dollars, en novembre 2002, afin d'en faire un service légal de téléchargement de musique payante.
Après avoir réussi à passer des accords avec les cinq majors de l'édition musicale, notamment après le rachat de Pressplay, le service Napster avait été relancé aux Etats-Unis, puis en Angleterre en mai dernier, proposant environ 750.000 titres en téléchargement d'Eminem à Miles Davis.
Cependant si la firme fait le pari de la musique en ligne, la concurrence devrait s'avérer difficile. Après avoir été relancé sous une forme légale, Napster affichait 10 millions de chansons vendues mi-juin alors qu'Apple se targuait d'avoir passé le cap des 100 millions de téléchargements fin juillet.
Contrairement à Apple qui privilégie la vente au titre, Napster engrange la plus grande partie de son chiffre d'affaires via sa formule d'abonnement.
Toujours dans la même logique de fidélisation, Napster s'orienterait davantage vers le modèle de la téléphonie mobile, subventionnant le terminal d'écoute, offert à ses abonnés quand Apple se sert de sa boutique de musique en ligne pour vendre des iPod.
Stratégies différentes, on peut se demander qui détient la recette miracle ? Au final, c'est peut être le consommateur qui tranchera la question...
