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Philips semble sortir de la crise plus tôt que prévu en renouant avec les bénéfices pour le premier trimestre 2002, là où les analystes s'attendaient à un résultat négatif situé dans une fourchette entre 150 et 450 millions d'euros.
Agréable surprise, le groupe néerlandais d'électronique grand public affiche pour les trois premiers mois de l'année un bénéfice net de 9 millions d'euros après avoir enregistré une perte nette record de 2,6 milliards d'euros pour l'année 2001.
Comparé au premier trimestre 2001, le bénéfice a tout de même chuté de 90%, de même que le chiffre d'affaires qui affiche une baisse de 7% à 7,6 milliards d'euros.
Mais pour Gerard Kleisterlee, le PDG de Philips, « Il semble que le plus fort de la crise soit derrière nous et que nous commencions à voir une reprise ».
Ce redressement inespéré est du à l'amélioration des marges du groupe, à la nette amélioration des résultats de ses sociétés non consolidés, et au plan de restructuration mis en place par la géant néerlandais, plan qui s'est soldé par la suppression de près de 25% des effectifs.
Le PDG de Philips a notamment souligné l'amélioration des résultats dans les divisions semi-conducteurs et composants, deux des divisions les plus touchées par le ralentissement économique.
Le groupe, qui a annoncé la semaine dernière une alliance dans le domaine de la Recherche et Développement avec le franco-italien STMicroelectronics et l'américain , se montre également optimiste pour l'ensemble de l'année 2002.
Même si les bénéfices annoncés sont peu significatifs pour un géant comme Philips, ils constituent toutefois un symbole du retour à la profitabilité que les marchés financiers apprécient : à la bourse de paris, le titre a terminé sur une hausse de 7,54%.
Agréable surprise, le groupe néerlandais d'électronique grand public affiche pour les trois premiers mois de l'année un bénéfice net de 9 millions d'euros après avoir enregistré une perte nette record de 2,6 milliards d'euros pour l'année 2001.
Comparé au premier trimestre 2001, le bénéfice a tout de même chuté de 90%, de même que le chiffre d'affaires qui affiche une baisse de 7% à 7,6 milliards d'euros.
Mais pour Gerard Kleisterlee, le PDG de Philips, « Il semble que le plus fort de la crise soit derrière nous et que nous commencions à voir une reprise ».
Ce redressement inespéré est du à l'amélioration des marges du groupe, à la nette amélioration des résultats de ses sociétés non consolidés, et au plan de restructuration mis en place par la géant néerlandais, plan qui s'est soldé par la suppression de près de 25% des effectifs.
Le PDG de Philips a notamment souligné l'amélioration des résultats dans les divisions semi-conducteurs et composants, deux des divisions les plus touchées par le ralentissement économique.
Le groupe, qui a annoncé la semaine dernière une alliance dans le domaine de la Recherche et Développement avec le franco-italien STMicroelectronics et l'américain , se montre également optimiste pour l'ensemble de l'année 2002.
Même si les bénéfices annoncés sont peu significatifs pour un géant comme Philips, ils constituent toutefois un symbole du retour à la profitabilité que les marchés financiers apprécient : à la bourse de paris, le titre a terminé sur une hausse de 7,54%.
