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Un mois avant le IXe sommet de la Francophonie au Liban, Beyrouth accueillait les Journées francophones de la société de l'information à l'ESA.
La Francophonie s'intéresse au Net. Un mois avant son 9e sommet qui se tiendra au Liban, l'Ecole supérieure des affaires de Beyrouth organisait les 19 et 20 septembre, les journées francophones de la société de l'information.
Organisée dans un contexte international difficile, cette deuxième édition a tout de même permis à des "entreprenautes" libanais de faire connaître leurs activités à quelques professionnels français de la NetEconomie ayant fait le déplacement. Les nombreuses tables rondes ont aussi mis l'accent sur les besoins en matière de formation et de connexion, pour permettre au Liban de rattraper son retard sur les pays occidentaux et en particulier sur Israël, leur dynamique voisin du sud.
Invités par Roger OURSET, directeur de l'ESA, un certain nombre de personnalités politiques françaises ou libanaises ont appelé à la réduction de la fracture numérique, tout en invitant les start-up françaises à s'intéresser à ce petit pays oriental, qui compte encore de nombreux francophones dans sa population.
La Francophonie s'intéresse au Net. Un mois avant son 9e sommet qui se tiendra au Liban, l'Ecole supérieure des affaires de Beyrouth organisait les 19 et 20 septembre, les journées francophones de la société de l'information.
Organisée dans un contexte international difficile, cette deuxième édition a tout de même permis à des "entreprenautes" libanais de faire connaître leurs activités à quelques professionnels français de la NetEconomie ayant fait le déplacement. Les nombreuses tables rondes ont aussi mis l'accent sur les besoins en matière de formation et de connexion, pour permettre au Liban de rattraper son retard sur les pays occidentaux et en particulier sur Israël, leur dynamique voisin du sud.
Invités par Roger OURSET, directeur de l'ESA, un certain nombre de personnalités politiques françaises ou libanaises ont appelé à la réduction de la fracture numérique, tout en invitant les start-up françaises à s'intéresser à ce petit pays oriental, qui compte encore de nombreux francophones dans sa population.
