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L'opérateur adopte la prudence pour la mise en bourse de sa filiale Orange, regroupant toutes ses activités de téléphonie mobile.
La NetEconomie a perdu de sa superbe. L'opérateur France Telecom adopte la prudence pour la mise en bourse de sa filiale Orange, regroupant toutes ses activités de téléphonie mobile. Ce ne seront pas 15% mais 13% du capital qui seront proposés aux petits porteurs et le cours d'introduction ne dépassera pas 13.5 euros, largement en dessous des estimations des analystes. Ayant visiblement souffert de l'effondrement du cours de Wanadoo, la filiale de France Telecom dédiée à l'internet, Michel BON et Hans Snook, patron d'Orange jouent donc la sécurité afin de garantir au nouveau numéro 3 mondial de la téléphonie, toutes les chances de succès. Avec près de 30 millions d'abonnés, Orange est valorisée entre 55,2 et 64,8 milliards d'euros et son introduction est prévue pour le 12 février. Les sommes obtenues permettront à FT de racheter la participation de 9.9% Vodaphone, désormais allié de Vivendi (SFR) et à réduire un peu son endettement.
La NetEconomie a perdu de sa superbe. L'opérateur France Telecom adopte la prudence pour la mise en bourse de sa filiale Orange, regroupant toutes ses activités de téléphonie mobile. Ce ne seront pas 15% mais 13% du capital qui seront proposés aux petits porteurs et le cours d'introduction ne dépassera pas 13.5 euros, largement en dessous des estimations des analystes. Ayant visiblement souffert de l'effondrement du cours de Wanadoo, la filiale de France Telecom dédiée à l'internet, Michel BON et Hans Snook, patron d'Orange jouent donc la sécurité afin de garantir au nouveau numéro 3 mondial de la téléphonie, toutes les chances de succès. Avec près de 30 millions d'abonnés, Orange est valorisée entre 55,2 et 64,8 milliards d'euros et son introduction est prévue pour le 12 février. Les sommes obtenues permettront à FT de racheter la participation de 9.9% Vodaphone, désormais allié de Vivendi (SFR) et à réduire un peu son endettement.
