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Alors que les majors de disque s'apprétaient à célébrer la mort de Napster, la firme allemande Bertelsmann annonce un accord avec les éditeurs du logiciel
Coup de théatre dans le petit monde de la musique. Alors que les majors de disque s'apprétaient à célébrer la mort de Napster, la firme allemande Bertelsmann annonce un accord avec les éditeurs du logiciel afin de commercialiser un service payant de distribution musicale. Selon les termes de l'accord, BMG, la maison de dique de Bertlesmann, retire sa plainte et accepte de placer l'intégralité de son catalogue musical sur le réseau Napster, à condition que ce dernier adopte un modèle d'abonnement de l'ordre de 5 dollars par mois afin de reverser des droits d'auteurs aux artistes. Reste à savoir si les 40 millions d'abonnés vont accepter de payer un service relativement bon marché ou si ils vont se rapatrier sur d'autres outils comme GNUtella, dont le contrôle semble loin d'être assuré.
Coup de théatre dans le petit monde de la musique. Alors que les majors de disque s'apprétaient à célébrer la mort de Napster, la firme allemande Bertelsmann annonce un accord avec les éditeurs du logiciel afin de commercialiser un service payant de distribution musicale. Selon les termes de l'accord, BMG, la maison de dique de Bertlesmann, retire sa plainte et accepte de placer l'intégralité de son catalogue musical sur le réseau Napster, à condition que ce dernier adopte un modèle d'abonnement de l'ordre de 5 dollars par mois afin de reverser des droits d'auteurs aux artistes. Reste à savoir si les 40 millions d'abonnés vont accepter de payer un service relativement bon marché ou si ils vont se rapatrier sur d'autres outils comme GNUtella, dont le contrôle semble loin d'être assuré.
