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Le président de la République Française souhaite associer les acteurs de l'internet au développement de la démocratie électronique
Particulièrement peu crédible en matière de nouvelles technologies depuis la calamiteuse affaire dite du "mulot", le président de la République Française a décidé de recevoir une quinzaine d'acteurs de l'internet "politique" parmi lesquelles des dirigeants d'entreprises (Michel MEYER pour Multimania, Fabrice SERGENT pour Club-Internet, Christophe DUPONT pour RESpublica, Philippe GUILLANTON pour , Stéphane TREPPOZ pour AOL ou encore Laurent SOULOUMIAC pour Voila) ainsi que de créateurs de services plus confidentiels comme Jean Edouard POIRIER (Site web et wap 5ou7.com sur le quinquennat) ou encore le gourou Jean Michel BILLAUT pour le site Doleances.org dans le but de mieux comprendre la "e-démocratie". En pleine campagne pour le quinquennat et soucieux de se donner une image High-Tech pour la prochaine élection présidentielle, Jacques CHIRAC croit voir dans l'internet un moyen de redonner la parole aux citoyens. Intention louable mais peut-être un peu naîve face aux potentialités d'un outil capable de remettre en cause le principe même de l'Etat.
Particulièrement peu crédible en matière de nouvelles technologies depuis la calamiteuse affaire dite du "mulot", le président de la République Française a décidé de recevoir une quinzaine d'acteurs de l'internet "politique" parmi lesquelles des dirigeants d'entreprises (Michel MEYER pour Multimania, Fabrice SERGENT pour Club-Internet, Christophe DUPONT pour RESpublica, Philippe GUILLANTON pour , Stéphane TREPPOZ pour AOL ou encore Laurent SOULOUMIAC pour Voila) ainsi que de créateurs de services plus confidentiels comme Jean Edouard POIRIER (Site web et wap 5ou7.com sur le quinquennat) ou encore le gourou Jean Michel BILLAUT pour le site Doleances.org dans le but de mieux comprendre la "e-démocratie". En pleine campagne pour le quinquennat et soucieux de se donner une image High-Tech pour la prochaine élection présidentielle, Jacques CHIRAC croit voir dans l'internet un moyen de redonner la parole aux citoyens. Intention louable mais peut-être un peu naîve face aux potentialités d'un outil capable de remettre en cause le principe même de l'Etat.