"L'idée est de créer une sorte de couteau suisse pour l'entrepreneur en proposant non seulement les financements privés mais également l'introduction en bourse, les émissions d'obligation voire la gestion de patrimoine" nous explique Pascal Mercier.
Même si l'heure n'est pas encore aux IPO, les récentes opérations de fusions acquisition pourraient en tout cas rendre l'opération particulièrement pertinente sous réserve que la "reprise" annoncée par lex experts soit effectivement au rendez vous.