Un chapitre du texte (Potential for Terrorist Use of Twitter) diffusé en fin de semaine au format pdf, détaille la manière dont Twitter serait utilisé par des groupes de pression, des activistes politiques, des fondamentalistes et d'autres acteurs, que ce soit dans un cadre licite ou non. Twitter, comme Noumba, Blog-it Express, Poodz ou encore Seesmic, propose aux internautes un service de blogging par messages courts. Selon le renseignement américain, Twitter serait déjà utilisé par certains de ses membres pour poster et/ou soutenir « des idéologies et des perspectives extrémistes ». L'utilisation de Twitter par des activistes et des hackers pourrait évoluer vers de « la surveillance ».
Paranoïa ou réalisme ? Après tout, quelle application web ne peut être utilisée à des fins de terrorisme ? La peur efface-t-elle le danger ? Doit-on privilégier le tout sécuritaire au détriment de l'innovation et de l'ouverture du Web au plus grand nombre ?