NRJ Mobile s'est récemment lancé sur le marché de l'Internet mobile avec une nouvelle gamme de forfaits « 4G Pocket », qui ne sort malheureusement pas du lot.
Tout comme certains de ses concurrents, NRJ Mobile profite des congés d'été pour lancer de nouvelles offres d'Internet mobile. Les clients de l'opérateur virtuel en particulier pourraient se laisser tenter, pour rester connectés en vacances avec leurs ordinateurs et leurs tablettes, mais ces forfaits sont moins intéressants que ceux de la concurrence.
La gamme 4G Pocket de NRJ Mobile comprend effectivement les deux forfaits suivant :
Web 3 Go pour 15 euros/mois
Web 10 Go pour 25 euros/mois
Ils bénéficient naturellement de la 4G, mais ils exploitent le réseau de SFR, le moins étendu et le moins performant des trois réseaux historiques selon l'Arcep, et non celui d'Orange.
Pour se différencier, le MVNO propose bien une option « rétablissement du débit Web ». Pour 10 euros, l'abonné qui dépasse son quota mensuel et se retrouve bridé à 128 kb/s peut rétablir le débit maximal jusqu'au renouvellement suivant pour 3 ou 10 Go supplémentaires (en fonction de son forfait). On obtient donc deux sous-forfaits donnant droit à 6 Go pour 25 euros ou à 20 Go pour 35 euros.
Mais malgré cette option ces forfaits offrent un mauvais rapport volume/prix. Les offres Connecté Partout de SFR par exemple incluent 2 Go de plus pour les mêmes prix. Et Bouygues Telecom reste imbattable avec ses offres Bbox Nomad qui incluent respectivement 6 et 16 Go pour les prix sus-cités. À défaut de rivaliser sur le volume, Prixtel enfin, l'un des rares autres opérateurs virtuels à proposer de l'Internet mobile, se distingue en proposant un forfait ajustable.
Dans ces conditions, inutile de vous indiquer que les forfaits 4G Pocket de NRJ Mobile sont proposés avec ou sans un engagement d'un an, et avec un routeur mobile Huawei E5372 à respectivement 40 ou 100 euros, n'est-ce pas ?
L'appareil se connecte en 4G et partage la connexion en Wi-Fi
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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