Prixtel a aujourd'hui annoncé avoir réajusté son récent forfait « Tempo », que nous avions opposé au convaincant Liberty Sim de Virgin Mobile, lors de son lancement le mois dernier. Le Tempo nouveau concurrence dorénavant frontalement ce forfait, à un avantage et un inconvénient près.
Le forfait Prixtel Tempo s'affiche pour commencer strictement au même tarif de 30 euros/mois, soit 10 euros de moins qu'initialement, ce qui représente tout de même une baisse de 25 %.
Il perd en contrepartie une heure d'appels pour s'aligner sur les 5 heures du rival, et conserve les SMS illimités et une connexion dite « illimitée » plafonnée à 500 Mo.
Soumis à un engagement de 24 ou 12 mois (pour 5 euros/mois supplémentaires), le nouveau Tempo de Prixtel est en fait l'équivalent du récent Liberty Plus de Virgin Mobile. Mais plutôt que de donner droit à un téléphone subventionné comme chez ce dernier, l'engagement donne ici droit à des appels présentés comme « illimités » vers les 3 numéros les plus appelés chaque mois.
Mais où diable est l'« illimité » ?
Si nombre d'opérateurs évincent finalement de leurs offres la notion désormais controversée d'« illimité », Prixtel quant à lui en use et surtout en abuse :
Si l'internet est seulement bridé au-delà de 500 Mo chez Virgin Mobile, il est ici bel et bien bloqué.
Les 3 numéros ont certes l'intérêt d'être dynamiques, mais les appels sont en fait limités à 15 heures par correspondant
Dans une moindre mesure enfin, les SMS sont limités à 99 correspondants par mois.
En quoi 500 Mo et 45 heures par mois revêtent-ils le caractère d'illimité ?
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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