Nouveau Meizu, nouveau rapport qualité prix intéressant. Quelques mois après le m2 Note, l'Apple chinois lance en France le m2 tout court, plus compact et donc encore plus abordable.
Tout comme le m2 Note, le Meizu m2 s'inspire ouvertement des codes esthétiques de l'iPhone 5c d'Apple. Mais c'est aussi et surtout un smartphone Android d'entrée de gamme digne d'intérêt en tant que tel.
L'appareil arbore un écran de 5 pouces et de 1280 x 720 pixels qui revendique une luminosité maximale honorable de 400 cd/m² et qui est recouvert de verre renforcé AGC Dragontrail X, équivalent chinois du Corning Gorilla Glass américain.
Cet écran est surmonté d'un capteur frontal de 5 millions de pixels. L'appareil photo dorsal fait quant à lui 13 millions de pixels, sans plus de précisions.
Le Meizu m2 embarque une puce MediaTek MT6735, constituée d'un CPU à quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 1,3 GHz et d'un GPU ARM Mali-T720MP2 à 450 MHz. On trouve 2 Go de mémoire vive LPDDR3, 16 Go de mémoire interne, extensible de 128 Go par le biais d'une carte microSD, et une batterie de 2 500 mAh.
Sur le plan de la connectivité, on trouve du Bluetooth 4.0, du Wi-Fi 802.11n double bande et de la LTE, d'une catégorie non précisée. Attention, des fréquences utilisées pour la 4G en France, seules les 2600 et les 1800 MHz essentiellement urbaines sont prises en charge, mais pas les 800 MHz, qui servent à couvrir de grandes zones dégagées et à pénétrer dans les bâtiments.
L'appareil repose enfin sur Android 5.1 Lollipop, avec l'interface personnalisée maison Flyme OS 4.5.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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