Nokia vient d'annoncer la commercialisation en France du Nokia X, le smartphone Android à très bas prix qu'il a présenté il y a un mois au Mobile World Congress 2014.
Le Nokia X sera mis en vente en France le 7 avril, mais il est disponible en précommande à partir d'aujourd'hui. Bien qu'il soit principalement destiné aux pays émergents, il sera vendu en ligne mais aussi dans des enseignes spécialisées (comme Boulanger, Darty ou la Fnac) et dans la grande distribution.
Les trois premiers mois il ne coûtera que 99 euros, soit son prix public de 119 euros moins 20 euros remboursés en différé. Nokia proposera effectivement une offre de remboursement valable pour les achats effectués entre le 1er avril et le 30 juin 2014.
115,5 x 63 x 10,4 mm pour 128,7 g
À ce prix, le Nokia X présente l'un des sinon le meilleur rapport prix/prestation sur le marché des smartphones Android. Le terminal dispose d'un boîtier monocoque, d'un écran LCD tactile capacitif de 4 pouces affichant 800 x 480 pixels, d'un capteur dorsal à 3 millions de pixels filmant en définition standard, d'une puce Qualcomm Snapdragon S4 à deux cœurs à 1 GHz, de 512 Mo de mémoire vive, de 4 Go de mémoire interne, extensible par microSD, et de connectivités Bluetooth 3.0, Wi-Fi N et 3G à 7,2 Mb/s avec deux emplacements micro SIM.
Mais attention s'il repose bien sur Android, il est dépourvu du Google Play et des services Google (Gmail, Google Maps, etc.) et mise sur les services de Nokia et de Microsoft (tels que Here, OneDrive, etc.). Nous vous invitons chaleureusement à lire cet article détaillant les tenants et aboutissants de la plateforme Nokia X.
Notons enfin que le Nokia XL, une variante à écran de 5 pouces et à capteurs de 5 et 2 millions de pixels, sera quant à lui disponible en France à la fin du 2e trimestre, c'est-à-dire vers la fin du mois de juin.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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