Selon la firme, 23 bugs pourraient être exploités par du « drive-by », une méthode destinée à faire exécuter un programme par l'utilisateur s'il se connecte sur un site avec du contenu malveillant. Apple avance alors le risque que certains esprits peu scrupuleux cherchent à traquer les habitudes des internautes...
Un tiers des bugs rapportés ont été trouvés par des développeurs de Google, un seul par l'équipe de recherche en sécurité de Microsoft. Enfin, une autre est à mettre au crédit d'un spécialiste appartenant à l'équipe du navigateur Opera.
Les utilisateurs de Mac OS X sont prévenus de ce patch de manière automatique. Les internautes sous Windows utilisant Safari sont, eux, alertés grâce à l'outil de mise à jour.