La semaine prochaine, Orange profitera de la mise en service de la 4G dans une dizaine de villes supplémentaires pour lancer de nouvelles offres. Celles-ci avaient fait l'objet d'une fuite, attestée aujourd'hui par une interview.
En vue de la mise en service de la 4G dans dix nouvelles villes le 4 avril, prévue depuis la fin du mois de janvier, Orange a récemment convié la presse pour une soirée de lancement « de nouvelles offres 4G » qui se tiendra la veille.
Mais il est inutile d'attendre le 3 avril pour connaitre la teneur de ces annonces. Dans une interview publiée aujourd'hui par Le Figaro, le PDG d'Orange a pour ainsi dire vendu la mèche. Stéphane Richard a effectivement annoncé que la 4G sera « offerte, dans un premier temps, à ses clients haut de gamme », et qu'elle sera proposée « en option, pour 1 euro de plus par mois jusqu'à la fin de l'année, avec tous les autres forfaits Origami ».
Or ces déclarations coïncident avec des offres qui seront a priori annoncées par Orange début avril notamment deux nouveaux forfaits, les « Play 2 Go » et « Play 4 Go », déclinés en deux versions :
une version 3G+ (jusqu'à 14 Mbps), incluant 50 Go de stockage en ligne et 30 chaines de télévision
une version 4G (jusqu'à 100 Mbps) ou H+ (jusqu'à 42 Mbps), offrant les mêmes quotas mais donnant droit au partage de connexion, au multi SIM, à 50 Go et à 40 chaines supplémentaires, pour 1 euro de plus par mois
Pas de 4G chez Sosh
Pour inciter les clients à revenir aux offres traditionnelles, suite à la démocratisation des offres sans engagement et sans subvention, les offres Sosh s'en tiendront quant à elles au H+. Dans l'interview au Figaro, Stéphane Richard affirme effectivement sans détour que « la 4G ne sera pas disponible sur les offres Sosh ». Les opérateurs comptent sur la 4G pour rehausser leur chiffre d'affaires.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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