Huawei a annoncé cette semaine le lancement en France de sa montre connectée haut de gamme, lors d'une soirée qui s'est tenue à la Cité de la mode à Paris.
Huawei aura occupé le terrain, avec son élégante montre connectée. La Huawei Watch fut dévoilée au MWC, en mars dernier ; la marque n'avait annoncé les prix et les dates de lancement en Europe que six mois plus tard, début septembre, lors de l'IFA. Puis la commercialisation a pris un peu de retard.
Une montre circulaire onéreuse
La Huawei Watch a finalement été mise en vente cette semaine, avec une semaine de retard. Elle est disponible auprès de quelques revendeurs agréés, dont Amazon, Boulanger, Darty et la Fnac, ainsi que sur la jeune boutique en ligne de la marque, vMall.
Cette montre à cadran circulaire et à couronne fine est sans surprise la plus onéreuse des montres Android Wear. Elle est vendue 400, 450 ou 500 euros, en fonction du bracelet et du coloris. Le modèle Elite à cadran en or rose, annoncé à 700 euros, n'est pas encore disponible, et aucune date n'est communiquée.
De l'Android Wear dernier cri
La Huawei Watch est pour rappel une montre Android Wear 1.3 arborant un écran AMOLED circulaire de 1,4 pouce et d'une définition de 400 x 400 pixels. Elle embarque une puce Qualcomm Snapdragon 400 cadencée à 1,2 GHz, 512 Mo de mémoire vive, 4 Go de mémoire flash, une batterie de 300 mAh, une connectivité Wi-Fi et Bluetooth 4.1, un capteur de fréquence cardiaque, un capteur de mouvement à six axes et un baromètre.
Elle bénéficie d'un boîtier en acier inoxydable, d'un cadran en verre saphir, mesure 42 mm de diamètre et 11,3 mm d'épaisseur.
Enfin, elle est compatible avec les smartphones exécutant Android 4.3 ou ultérieur ainsi qu'avec les iPhone exécutant iOS 8.2 ou ultérieur.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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