Le code de la route s'adapte aux nouvelles technologies

02 mai 2016 à 15h02
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La réforme du code de la route est entrée en vigueur ce lundi. Elle s'accompagne logiquement d'une nouvelle épreuve théorique du permis de conduire, plus moderne à plus d'un titre.

En plus de faire appel au bon sens plus qu'aux connaissances, pour inciter les jeunes conducteurs à réfléchir plutôt qu'à apprendre par cœur, le nouvel examen passe de 700 à 1000 questions et s'ouvre à de nouveaux thèmes : l'écoconduite, les nouvelles technologies ou encore les premiers secours. Les questions seront posées à partir de photos, mais désormais aussi de vues aériennes (photographiées par des drones ?) et même de vidéos, plus réalistes.

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Les candidats seront interrogés à propos des GPS, des boîtes de vitesses automatiques, des radars de distances ou de l'aide au freinage d'urgence. Le code fait plus de place à l'éco-conduite et à l'essor de la multimodalité, en abordant le covoiturage, l'auto-partage ou le comportement à adopter face à des usagers vulnérables, tels que les cyclistes.

L'examen demandera par exemple dans quelles conditions il est préférable d'utiliser le régulateur de vitesse, comment fonctionne l'appel d'urgence eCall (géolocalisation), ou ce qu'il faut faire à l'approche d'un feu rouge (faut-il rétrograder).

L'examen en tant que tel sera plus moderne, il ne sera plus collectif, chacun des candidats aura un questionnaire différent sur une tablette ou sur un ordinateur individuel. Et dans le même ordre d'idée, les cours ne seront plus dispensés par le biais de DVD mais d'un nouveau boîtier pouvant recevoir de nouvelles questions par internet.

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Retrouvez ici une sélection d'applications code de la route.

Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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