Google Maps poursuit sa conquête du monde entier. L'omniscient Google a annoncé hier la mise à disposition de ses premières cartes d'intérieurs en France, et dans un autre domaine de ses premières imageries sous-marines.
Cartes intérieurs en France
Après celles des États-Unis à partir du mois de novembre 2011, puis ceux du Royaume-Uni, de la Suisse et du Japon, Google publie les cartes intérieures d'aéroports, de centres commerciaux et de boutiques de France.
Celles-ci ne sont accessibles que depuis l'application Google Maps pour Android. Mais le guidage jusqu'à une marque ou un rayon précis n'est pas encore disponible. Rappelons à ce sujet qu'aux États-Unis, le calcul d'itinéraire ne fut proposé que cinq mois après la publication des cartes. La géolocalisation d'intérieure en revanche, exploitant l'accéléromètre du terminal pour détecter les changements d'étages, fonctionne.
Dès à présent dans une cinquantaine de lieux, les mobinautes pourront quoi qu'il en soit se passer des plans et panneaux parfois introuvables des commerces. La liste complète est consultable à cette adresse.
Street View sur les barrières de corail
Initialement limité aux rues, comme son nom l'indique, Street View poursuit son exploration de la Terre, en se rendant pour la première fois sous la mer.
En partenariat avec l'équipe du Catlin Seaview Survey, qui mène une étude sur le corail du monde entier, Google a effectivement publié des photos panoramiques de barrières d'Australie, des Philippines et d'Hawaï. Des plongeurs ont réalisé des clichés à l'aide d'un appareil spécifiquement fabriqué pour leur étude, le Seaview SVII, muni d'un propulseur tractant le plongeur à 4 km/h.
Les internautes peuvent ainsi observer la faune et la flore entourant ces barrières de corail, et rencontrer une tortue ou une raie manta.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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