Nokia a aujourd'hui annoncé, en prélude à l'inauguration du Nokia World demain à 10 h, une mise à jour de l'application Web « Nokia Maps », lancée en juillet dernier. Elle n'apporte que deux nouveautés mineures, mais l'une d'elle modifie à elle seule son champ d'application.
« Nokia Maps pour iOS et Android » peut effectivement désormais fonctionner hors ligne, ce qui permet de l'utiliser partiellement à l'étranger ou dans le cadre d'un quota réduit d'Internet mobile. En partie seulement car le calcul d'itinéraire requiert une connexion à Internet.
L'application Web exploite pour ce faire la fonction local storage (stockage local) introduite dans le HTML5, le langage sur lequel elle repose. C'est ce dernier qui a permis de concevoir un site Internet, compatible avec plusieurs plateformes, offrant une expérience utilisateur proche de celle d'une application native.
Par ailleurs, en plus du guidage routier ou piéton existant, la version HTML5 de Nokia Maps propose dorénavant le guidage en transport en commun. La liste des villes dans lesquelles la fonction est disponible n'a pour l'heure pas été communiquée, les captures d'écrans ne montrant que Londres.
Enfin, en plus des informations sur les points d'intérêts sélectionnés par l'utilisateur, l'application Web est en mesure d'afficher les points d'intérêts de différents types à proximité, avec un affichage immédiat de la notation issue de sites de critique.
Application Web oblige, les nouveautés sont immédiatement accessibles, à l'adresse m.maps.nokia.com.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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