Coyote a lancé mardi le « Mini Coyote Plus », un nouvel avertisseur de radars fixes et mobiles communautaire. Comme le suffixe « Plus » l'indique, il ne s'agit en fait que d'une variante (du Mini Coyote v2 en l'occurrence) enrichie.
Le « Mini Coyote Plus » hérite effectivement de l'intégralité des fonctionnalités exclusivement communautaires de son prédécesseur, auxquelles s'ajoutent désormais le service « Coyote Assistance », accessible directement du bouton central du boîtier.
« Il nous a paru pertinent que nos abonnés ne soient plus seuls aussi quand ils sont immobilisés contre leur gré, » a déclaré Fabien Pierlot, PDG de la société. « En un appui sur le bouton central, véhicule à l'arrêt, Coyote Assistance est là pour les aider face à tous les problèmes techniques, » a ajouté le dirigeant, sans donner plus de précisions quant à la teneur de cette assistance (appel téléphonique, intervention sur place, etc.). On sait en revanche qu'elle couvre les pannes mécaniques, électriques ou électroniques mais pas les dommages corporels ou les urgences médicales.
Le « Mini Coyote Plus » se dote par ailleurs d'une coque renforcée, d'un son amélioré et de nouveaux boutons de signalement plus ergonomiques. On retrouve donc les alertes de radars fixes, de radars mobiles et de perturbations routières en temps réel, par le biais d'une connexion cellulaire incluse.
Le nouveau « Mini Coyote Plus » sera commercialisé en France à partir de novembre 2010 au prix public de 200 euros. Le tarif de l'abonnement reste inchangé (3 mois offerts, 12 euros/mois, 144 euros/an et 250 euros/2 ans). « Coyote Assistance » est enfin gratuit pour les titulaires d'un abonnement de 2 ans (limité à 30 appels sur la période), ou facturé 3,50 euros à l'acte (hors frais d'assistance).
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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