Orange porte le débit maximal en upload de certains de ses clients Livebox Fibre à 250 Mb/s. Il prend ainsi les devants sur ses concurrents.
Un temps devancé par Free puis par SFR et Bouygues Telecom, Orange reprend finalement l'ascendant en matière de débits sur ses offres fibre. Et puisque tous les fournisseurs d'accès à Internet par FTTH fournissent déjà le maximum en réception, jusqu'à 1 Gb/s quand la collecte (la liaison en amont du nœud de raccordement optique) le permet, l'opérateur historique intervient sur le second levier : le débit en émission.
Depuis le début du mois, Orange surclasse ainsi progressivement certains de ses clients, en fonction de leur offre et de leur zone :
qu'ils aient 500 Mb/s ou 1 Gb/s en réception, certains abonnés Livebox Jet Fibre passent de 200 à 250 Mb/s en émission,
depuis quelques temps les abonnés Livebox Play Fibre ont 300 Mb/s en réception, au lieu des 200 Mb/s officiels, depuis peu certains passent de 50 à 75 Mb/s en émission.
Ces hausses de débit n'obéissent qu'à une logique commerciale, pas à une mise à niveau technique. La collecte des nœuds de raccordement optique (NRO), de l'ordre de 2 à 20 Gb/s, n'a selon nos informations pas évolué.
Quoi qu'il en soit pour profiter de tels débits il faut que l'ordinateur soit raccordé à la box en Gigabit Ethernet, le Wi-Fi et le CPL ne sont pas à la hauteur. En outre il faut retenir que si une multitude de clients raccordés au même NRO lançaient un test de débit au même moment, la collecte serait saturée et ils n'obtiendraient pas tous les débits maximaux précités. C'est ce qui distingue les offres d'accès à Internet grand public, qui sont largement mutualisées, d'offres professionnelles, dont les débits peuvent être garantis.
La hausse de l'upload est quoi qu'il en soit une bonne nouvelle pour l'auto-hébergement, elle facilite cette pratique qui consiste à stocker ses données personnelles chez soit, sur un NAS par exemple, au lieu de les confier à des prestataires tiers tels que Dropbox, Google et consorts.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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