Le spécialiste du baladeur Cowon complète sa gamme Plenue d'un modèle haute résolution plus abordable. Après un Plenue 1 à 1000 euros puis un Plenue M à peine moins cher à 800 euros, voici le Plenue D, à 300 euros.
Face à la multiplication des smartphones compatibles Hi-Res, Cowon lance un appareil qui ne sait faire qu'une seule chose, mais qui la fait bien : jouer de la musique haute résolution.
Le Plenue D repose effectivement sur un DAC dont la référence n'est pas précisée mais qui serait employé dans des appareils Hi-Fi. Il revendique un rapport signal sur bruit de 123 dB, une diaphonie (séparation des deux canaux stéréo) de -105 dB et une distorsion (THD+N) de 0,004 %.
Dédié à la musique, l'appareil se distingue par son autonomie. Il joue effectivement du MP3 pendant 100 h ou du lossless jusqu'à 192 kHz sur 24 bits pendant 50 h (FLAC, ALAC, etc.). La musique est stockée sur une mémoire interne de 32 Go ou sur une carte microSD d'un maximum de 128 Go.
En dépit de sa compacité - il mesure 77,2 x 53,1 x 14,9 mm pour 94 g - il offre enfin une ergonomie étudiée. Il dispose notamment de cinq boutons dédiés : hausse du volume, baisse du volume (100 paliers), piste précédente, piste suivante et lecture/pause. L'écran tactile de 2,8 pouces affiche une interface propriétaire, avec une définition de 320 x 240 pixels, qui offre un égaliseur à 5 bandes, une fonction de restauration des détails perdus et une fonction d'upsampling en haute résolution, entre autres.
Ce Cowon Plenue D sera disponible à partir du 28 décembre au prix public de 300 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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