Le fabricant de baladeurs haut de gamme Astell&Kern, filiale du coréen iRiver, a dévoilé vendredi un nouveau « point de départ musical » : l'AK Jr. C'est le nouveau premier prix des baladeurs haute résolution de la marque, et un produit relativement compétitif sur ce marché florissant.
Cet Astell&Kern Junior remplace avantageusement l'AK100, supplanté l'été dernier par un AK100 II plus haut de gamme à 1100 euros. L'AK Jr est à la fois nettement plus abordable, plus performant et plus compact.
Il reprend effectivement le DAC Wolfson WM8740 du premier AK100, mais il l'associe à une nouvelle sortie casque dont la puissance a été portée de 1,5 à 1,95 Vrms (en hausse de 14%), et dont l'impédance a été abaissée de 22 à 2 Ohms. Le baladeur est donc à la hauteur de casques encore plus exigeants. Il revendique un rapport signal bruit de 112 dB à 1 kHz et une distorsion harmonique totale THD+N de 0,005 % à 1 kHz.
Boîtier et molette en aluminium, 8,9 mm d'épaisseur pour 93 g
Le convertisseur numérique analogique fonctionne en PCM jusqu'en 192 kHz sur 24 bits. L'appareil décode notamment le FLAC et l'ALAC (Apple Lossless). Il prend en charge le DSD à 2,8 MHz après conversion en PCM. Il dispose de 64 Go de mémoire interne, extensible de 64 Go par microSD, ainsi que d'une interface propriétaire affichée sur un écran LCD tactile de 3,1 pouces et de 400 x 240 pixels.
Polyvalent, il peut aussi servir de DAC pour un ordinateur, par le biais de son port micro USB 2.0. Une connectivité Bluetooth 4.0 est disponible pour un casque Bluetooth, mais ce serait donner de la confiture à des cochons.
L'Astell&Kern AK Jr sera mis en vente à une date encore inconnue, au prix public de 500 dollars ou de 400 livres, soit environ 500 euros. Il concurrence donc le PonoPlayer de Neil Young à 400 dollars, mais il est assez loin du Sony NWZ-A à 200 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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