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Dirigé par Fast, spécialiste européen des technologies de recherche pro, le réseau iAd se dote d'un centre de développement financé par le gouvernement norvégien.
iAd, concurrent du projet de moteur européen Quaero, dispose d'un centre de R&D financé par le gouvernement norvégien, placé sous l'égide d'une société : Fast.
Lancé fin 2005, le projet iAd (Information Access Disruptions) est encadré par Fast Search & Transfer, spécialiste norvégien des technologies de recherche pour entreprises, en coopération avec le groupe scandinave Schibsted.
Coopèrent également au projet : les universités techniques de Tromsø (UiTø), Trondheim (NTNU), Oslo (UiO), la BI école norvégienne de management (bi.no), l'University College de Dublin (Irlande) et la Cornell University (NY).
50 millions d'euros ont d'ores et déjà été réunis pour développer iAd, alernative euro/américaine à Quaero. Projet de moteur de recherche multimedia, soutenu par la France et l'Allemagne, Quaero réunit des jeunes pousses dont Exalead, concurrent de Fast sur le marché des entreprises, et des grands groupes comme et Deutsche Telecom.
iAd, de son côté, ambitionne de proposer aux entreprises un ensemble innovant de technologies de recherche, à travers un programme s'appuyant sur un réseau commercial international et des centres de recherche universitaires.
Fast indique dans un communiqué daté du 2 novembre 2006 que le "réseau" iAD travaille au développement "de prototypes, brevets, produits et services qui introduiront des innovations radicales dans l'accès aux informations."
En peu de temps, on a enregistré "un changement majeur de focalisation du secteur, de la production à la consommation d'informations", a souligné John M. Lervik, président de Fast. Avant d'insister : "Les relations entre Fast et ses partenaires contribuent à l'innovation technologique, et ce bien au-delà de ce que l'on pouvait imaginer il y a quelques années". Avec le développement de l'iAd, le mouvement prend de l'ampleur.
Sur un marché de la recherche en ligne dominé par le trio étatsunien Google/Yahoo/MSN, les Européens tentent une percée. Reste à savoir qui, de l'iAd ou de Quaero, commercialisera le premier sa technologie "révolutionnaire".
iAd, concurrent du projet de moteur européen Quaero, dispose d'un centre de R&D financé par le gouvernement norvégien, placé sous l'égide d'une société : Fast.
Lancé fin 2005, le projet iAd (Information Access Disruptions) est encadré par Fast Search & Transfer, spécialiste norvégien des technologies de recherche pour entreprises, en coopération avec le groupe scandinave Schibsted.
Coopèrent également au projet : les universités techniques de Tromsø (UiTø), Trondheim (NTNU), Oslo (UiO), la BI école norvégienne de management (bi.no), l'University College de Dublin (Irlande) et la Cornell University (NY).
50 millions d'euros ont d'ores et déjà été réunis pour développer iAd, alernative euro/américaine à Quaero. Projet de moteur de recherche multimedia, soutenu par la France et l'Allemagne, Quaero réunit des jeunes pousses dont Exalead, concurrent de Fast sur le marché des entreprises, et des grands groupes comme et Deutsche Telecom.
iAd, de son côté, ambitionne de proposer aux entreprises un ensemble innovant de technologies de recherche, à travers un programme s'appuyant sur un réseau commercial international et des centres de recherche universitaires.
Fast indique dans un communiqué daté du 2 novembre 2006 que le "réseau" iAD travaille au développement "de prototypes, brevets, produits et services qui introduiront des innovations radicales dans l'accès aux informations."
En peu de temps, on a enregistré "un changement majeur de focalisation du secteur, de la production à la consommation d'informations", a souligné John M. Lervik, président de Fast. Avant d'insister : "Les relations entre Fast et ses partenaires contribuent à l'innovation technologique, et ce bien au-delà de ce que l'on pouvait imaginer il y a quelques années". Avec le développement de l'iAd, le mouvement prend de l'ampleur.
Sur un marché de la recherche en ligne dominé par le trio étatsunien Google/Yahoo/MSN, les Européens tentent une percée. Reste à savoir qui, de l'iAd ou de Quaero, commercialisera le premier sa technologie "révolutionnaire".
