Le roi de l'intelligence artificielle ne dort plus aussi paisiblement depuis que ses rivaux ont décidé de pimenter sérieusement la partie. OpenAI dégaine en urgence un plan de bataille secret pour prouver qu'elle n'est pas prête à finir en simple note de bas de page de l'histoire technologique.

L'automne fut particulièrement rude pour la firme de Sam Altman qui voit son trône vaciller dangereusement sous les assauts répétés de la concurrence. Entre une hémorragie soudaine d'utilisateurs et des prouesses techniques affichées avec arrogance par le voisin, l'heure n'est plus à la complaisance habituelle mais à une contre-attaque immédiate et musclée.
La fin de la récréation
Il faut avouer que Google n'y est pas allé avec le dos de la cuillère en lançant son Gemini 3. Ce nouveau venu a tout simplement balayé les records habituels, laissant ChatGPT avec un arrière-goût de technologie vieillissante. Comme un malheur n'arrive jamais seul, le cousin Claude d'Anthropic s'est mis à coder avec une virtuosité agaçante, volant la vedette auprès des développeurs qui pensaient pourtant avoir tout vu. Cette double gifle a eu un effet immédiat et douloureux puisque les utilisateurs, ces êtres par nature volages, ont commencé à aller voir ailleurs si l'herbe numérique était plus verte.

- Chat dans différentes langues, dont le français
- Générer, traduire et obtenir un résumé de texte
- Générer, optimiser et corriger du code
Face à cette fuite des cerveaux et surtout des abonnements, la direction a dû se résoudre à appuyer sur le fameux bouton rouge. Fini les projets annexes, les rêves de puces électroniques ou les distractions futiles, tout le monde est rappelé sur le pont pour sauver le soldat ChatGPT. L'ambiance est électrique dans les bureaux de San Francisco car l'enjeu est colossal pour une entreprise qui brûle ses liquidités à une vitesse folle. La consigne est désormais sans appel et résonne dans tous les couloirs : il faut redevenir le meilleur, tout de suite, avant que l'avance technologique ne fonde comme neige au soleil.
L'ingrédient secret pour relever la sauce
C'est ici qu'entre en scène le mystérieux projet Garlic, tel un remède de grand-mère censé guérir tous les maux de l'entreprise. Ce nouveau modèle promet de corriger les errements du passé en optimisant enfin cet apprentissage préalable qui donnait tant de fil à retordre aux ingénieurs maison ces derniers mois. Mark Chen, le chef de la recherche, assure avec un brin de fierté que cette nouvelle mouture fait déjà des merveilles en coulisses en surpassant les rivaux sur les exercices de raisonnement pur.
L'idée est séduisante sur le papier puisqu'il s'agit de faire aussi bien, voire mieux, mais avec une architecture plus légère et donc plus rapide. En s'appuyant sur les fondations d'un précédent projet interne, les équipes espèrent avoir trouvé la formule magique pour combiner puissance brute et agilité. Si la promesse est tenue, OpenAI pourrait bien transformer cette crise de nerfs en nouveau triomphe commercial dès le début de l'année 2026. Reste à savoir si cette simple gousse d'ail suffira à repousser les vampires de la concurrence qui ont déjà planté leurs crocs profondément dans le marché.
Source : ZDNET