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Alertée par des PME du logiciel, Bruxelles s'intéresse aux solutions de cryptage que l'éditeur américain veut intégrer à Windows Vista.
A l'approche du lancement mondial de Vista, Bruxelles montre à nouveau les dents.
Après avoir indiqué ne pas souhaiter que certaines applications 'clés' soient pré-installées par Microsoft sur Vista, la Commission européenne s'intéresse aux solutions de cryptage et de reconnaissance que l'éditeur veut intégrer au successeur d'XP.
Craignant que l'intégration de ces solutions 'maison' n'entraîne un manque à gagner pour leur économie, des PME européennes du logiciel et des spécialistes de la sécurité comme ont alerté l'exécutif européen cet été, a indiqué le Financial Times lundi 2 octobre 2006.
En théorie, Microsoft pourrait proposer un espace de travail et de divertissement complet en intégrant à son OS ses propres solutions propriétaires (Office, Windows Live, navigateur, moteur, messagerie instantanée, etc.)
Si Microsoft agissait de la sorte, la marge de manœuvre de la concurrence, notamment de l'alternative open source, dans le secteur du soft et des web services pour PC serait quasi-nulle.
Neelie Kroes, commissaire européenne à la concurrence, a indiqué en mars dernier à Steve BALLMER, CEO de Microsoft, que Vista doit être développé "en conformité avec la réglementation européenne sur la concurrence."
Début septembre, l'éditeur américain laissait entendre que le lancement de l'OS, prévu en novembre 2006 pour les entreprises, début 2007 pour les particuliers, pourrait être retardé sur le vieux continent du fait des exigences de l'exécutif européen. Intox ?
A l'approche du lancement mondial de Vista, Bruxelles montre à nouveau les dents.
Après avoir indiqué ne pas souhaiter que certaines applications 'clés' soient pré-installées par Microsoft sur Vista, la Commission européenne s'intéresse aux solutions de cryptage et de reconnaissance que l'éditeur veut intégrer au successeur d'XP.
Craignant que l'intégration de ces solutions 'maison' n'entraîne un manque à gagner pour leur économie, des PME européennes du logiciel et des spécialistes de la sécurité comme ont alerté l'exécutif européen cet été, a indiqué le Financial Times lundi 2 octobre 2006.
En théorie, Microsoft pourrait proposer un espace de travail et de divertissement complet en intégrant à son OS ses propres solutions propriétaires (Office, Windows Live, navigateur, moteur, messagerie instantanée, etc.)
Si Microsoft agissait de la sorte, la marge de manœuvre de la concurrence, notamment de l'alternative open source, dans le secteur du soft et des web services pour PC serait quasi-nulle.
Neelie Kroes, commissaire européenne à la concurrence, a indiqué en mars dernier à Steve BALLMER, CEO de Microsoft, que Vista doit être développé "en conformité avec la réglementation européenne sur la concurrence."
Début septembre, l'éditeur américain laissait entendre que le lancement de l'OS, prévu en novembre 2006 pour les entreprises, début 2007 pour les particuliers, pourrait être retardé sur le vieux continent du fait des exigences de l'exécutif européen. Intox ?
