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Le Haut conseil de la science et de la technologie (HCST) est censé soutenir "une véritable gouvernance française de la science et de la recherche".
Jacques Chirac a inauguré lundi 25 septembre 2006 le Haut conseil de la science et de la technologie (HCST).
Annoncée en novembre dernier par le ministère de l'éducation nationale, la création du Haut conseil vise à "éclairer les décisions stratégiques de l'Etat français en faveur de la recherche et de l'innovation".
Organe consultatif, placé auprès du Président de la République, le HCST est présidé par Serge Feneuille, ex-directeur de la recherche de Lafarge Coppée, et regroupe une vingtaine de scientifiques dont : Alain Aspect, Yves Coppens, Anne Fagot-Largeault, Claude Griscelli, Philippe Kourilsky et Dominique Vernay.
Ainsi constitué, le HCST est censé soutenir "une véritable gouvernance de la science et de la recherche", assurer l'équilibre entre recherche fondamentale, impératifs économiques et industriels, attentes légitimes de la société.
"Pour la France et pour l'Europe, investir dans la science est, en vérité, une question de survie. Face aux grands pays développés, face aux géants en devenir, face aux menaces environnementales ou sanitaires, face à la fin programmée des énergies fossiles, notre avenir passe par le choix de l'intelligence, de l'imagination et de l'audace", a souligné le Président Chirac.
Avant d'ajouter "Avec la loi pour la recherche, la nation consent un effort financier sans précédent depuis un quart de siècle : en 3 ans, 6 milliards d'euros de plus, 6.000 postes supplémentaires."
Parallèlement à l'Agence nationale de la recherche (ANR), à l'Agence de l'innovation industrielle (AII), aux pôles et réseaux de recherche constitués avant la fin de l'année, la HCST aura un rôle d'assistance, son succès dépendra plus de son indépendance que de sa marge de manœuvre.
Parallèlement, Jacques Chirac a annoncé la création prochaine d'une "Agence d'évaluation" et de "réseaux thématiques de recherche avancée" couvrant toutes les disciplines. Enfin, sera lancé, avant la fin de l'année, un "Institut des Hautes études pour la science et la technologie."
C'es outils vont-ils relancer ou "alourdir" la recherche française ? La situation est préoccupante, la recherche en France est en perte de vitesse, notamment en terme de retombées économiques, par rapport à celle d'autres pays en particulier les Etats-Unis et le Japon.
Jacques Chirac a inauguré lundi 25 septembre 2006 le Haut conseil de la science et de la technologie (HCST).
Annoncée en novembre dernier par le ministère de l'éducation nationale, la création du Haut conseil vise à "éclairer les décisions stratégiques de l'Etat français en faveur de la recherche et de l'innovation".
Organe consultatif, placé auprès du Président de la République, le HCST est présidé par Serge Feneuille, ex-directeur de la recherche de Lafarge Coppée, et regroupe une vingtaine de scientifiques dont : Alain Aspect, Yves Coppens, Anne Fagot-Largeault, Claude Griscelli, Philippe Kourilsky et Dominique Vernay.
Ainsi constitué, le HCST est censé soutenir "une véritable gouvernance de la science et de la recherche", assurer l'équilibre entre recherche fondamentale, impératifs économiques et industriels, attentes légitimes de la société.
"Pour la France et pour l'Europe, investir dans la science est, en vérité, une question de survie. Face aux grands pays développés, face aux géants en devenir, face aux menaces environnementales ou sanitaires, face à la fin programmée des énergies fossiles, notre avenir passe par le choix de l'intelligence, de l'imagination et de l'audace", a souligné le Président Chirac.
Avant d'ajouter "Avec la loi pour la recherche, la nation consent un effort financier sans précédent depuis un quart de siècle : en 3 ans, 6 milliards d'euros de plus, 6.000 postes supplémentaires."
Parallèlement à l'Agence nationale de la recherche (ANR), à l'Agence de l'innovation industrielle (AII), aux pôles et réseaux de recherche constitués avant la fin de l'année, la HCST aura un rôle d'assistance, son succès dépendra plus de son indépendance que de sa marge de manœuvre.
Parallèlement, Jacques Chirac a annoncé la création prochaine d'une "Agence d'évaluation" et de "réseaux thématiques de recherche avancée" couvrant toutes les disciplines. Enfin, sera lancé, avant la fin de l'année, un "Institut des Hautes études pour la science et la technologie."
C'es outils vont-ils relancer ou "alourdir" la recherche française ? La situation est préoccupante, la recherche en France est en perte de vitesse, notamment en terme de retombées économiques, par rapport à celle d'autres pays en particulier les Etats-Unis et le Japon.
