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En Europe, 23 millions de lignes devraient être dégroupées en 2010, contre 9 millions à l'heure actuelle, selon l'Institut de l'audiovisuel et des télécoms.
D'après l'Idate, 9 millions de lignes étaient dégroupées en Europe l'an dernier. Ce chiffre pourrait atteindre 23 millions de lignes en 2010, soit 27% des lignes DSL.
Le dégroupage permet aux opérateurs alternatifs d'utiliser, en échange d'une rémunération, le réseau local de l'opérateur historique du marché sur lequel ils s'activent. Ils peuvent ainsi desservir directement leurs abonnés.
Lorsqu'il est "total", le dégroupage permet au client final de ne plus payer d'abonnement téléphonique classique à l'historique (France Télécom au niveau national).
Le marché européen du dégroupage a peu évolué entre 2000 et 2003. C'est à partir de l'été 2004 que la croissance du nombre de lignes dégroupées s'est accélérée, en passant de 800.000 lignes dégroupées à plus de 2 millions sur un an, a souligné l'Institut dans son étude rendue publique le 18 septembre 2006.
La Suède apparaît comme la championne européenne du dégroupage. La France, avec 30% de lignes DSL dégroupées en 2005, arrive en deuxième position devant la Norvège et les Pays-Bas.
En 2010, 35% des lignes DSL en France devraient être dégroupées, plaçant le pays à la première place des pays européens (25% de lignes dégroupées en moyenne).
Le dégroupage est un moteur pour le haut débit et la VoIP.
D'après l'Idate, 9 millions de lignes étaient dégroupées en Europe l'an dernier. Ce chiffre pourrait atteindre 23 millions de lignes en 2010, soit 27% des lignes DSL.
Le dégroupage permet aux opérateurs alternatifs d'utiliser, en échange d'une rémunération, le réseau local de l'opérateur historique du marché sur lequel ils s'activent. Ils peuvent ainsi desservir directement leurs abonnés.
Lorsqu'il est "total", le dégroupage permet au client final de ne plus payer d'abonnement téléphonique classique à l'historique (France Télécom au niveau national).
Le marché européen du dégroupage a peu évolué entre 2000 et 2003. C'est à partir de l'été 2004 que la croissance du nombre de lignes dégroupées s'est accélérée, en passant de 800.000 lignes dégroupées à plus de 2 millions sur un an, a souligné l'Institut dans son étude rendue publique le 18 septembre 2006.
La Suède apparaît comme la championne européenne du dégroupage. La France, avec 30% de lignes DSL dégroupées en 2005, arrive en deuxième position devant la Norvège et les Pays-Bas.
En 2010, 35% des lignes DSL en France devraient être dégroupées, plaçant le pays à la première place des pays européens (25% de lignes dégroupées en moyenne).
Le dégroupage est un moteur pour le haut débit et la VoIP.
