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En attendant de trouver un compromis avec l'AFP, Google vient de signer un accord avec AP pour pouvoir utiliser son contenu sur Google News
L'information a un prix. En attendant de trouver un compromis avec l'Agence France Presse, qui lui réclame plus de 17 millions de dollars pour avoir utilisé ses contenus, Google vient de signer un accord sur le copyright avec une autre agence, Associated Press, pour pouvoir exploiter une partie de ses produits sur l'agrégateur Google News.
"Les accords avec des marchés commerciaux, tel que celui récemment conclu avec Google, protègent nos droits à la propriété intellectuelle et nous fournissent des revenus supplémentaires pour subventionner notre recherche d'informations et autres services pour nos clients",explique AP.dans un communiqué.
Depuis l'apparition à la fin des années 90 de sociétés comme Net2one, les relations entre "agrégateurs" et "fournisseurs de contenus" ont toujours été tendues. Même si la justice a régulièrement donné raison aux éditeurs au nom du fameux "droit d'auteur", les agrégateurs se sont toujours justifiés en expliquant qu'ils renvoyaient gratuitement du trafic vers les sources, ces dernières considérant au contraire que ces intermédiaires cannibalisaient non seulement leurs lecteurs mais également les annonceurs.
Reste à savoir si les accords signés par Google pousseront une nouvelle génération de start-up estampillées web 2.0 (Digg, fuzz, wikio, agoravox ...) à rémunérer à leur tour leurs sources ou leurs contributeurs...
L'information a un prix. En attendant de trouver un compromis avec l'Agence France Presse, qui lui réclame plus de 17 millions de dollars pour avoir utilisé ses contenus, Google vient de signer un accord sur le copyright avec une autre agence, Associated Press, pour pouvoir exploiter une partie de ses produits sur l'agrégateur Google News.
"Les accords avec des marchés commerciaux, tel que celui récemment conclu avec Google, protègent nos droits à la propriété intellectuelle et nous fournissent des revenus supplémentaires pour subventionner notre recherche d'informations et autres services pour nos clients",explique AP.dans un communiqué.
Depuis l'apparition à la fin des années 90 de sociétés comme Net2one, les relations entre "agrégateurs" et "fournisseurs de contenus" ont toujours été tendues. Même si la justice a régulièrement donné raison aux éditeurs au nom du fameux "droit d'auteur", les agrégateurs se sont toujours justifiés en expliquant qu'ils renvoyaient gratuitement du trafic vers les sources, ces dernières considérant au contraire que ces intermédiaires cannibalisaient non seulement leurs lecteurs mais également les annonceurs.
Reste à savoir si les accords signés par Google pousseront une nouvelle génération de start-up estampillées web 2.0 (Digg, fuzz, wikio, agoravox ...) à rémunérer à leur tour leurs sources ou leurs contributeurs...