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Les eurodéputés ont adopté jeudi une résolution contre les entraves à la liberté d'expression sur Internet tolérées par certaines grandes entreprises.
Le Parlement européen dénonce les atteintes à la libre expression sur Internet.
Jeudi 6 juillet 2006, les eurodéputés des groupes PPE-DE, PSE, ADLE, Verts/ALE, GUE/NGL et UEN ont adopté, par 65 voix pour, 0 contre et 2 abstentions, une résolution commune contre la censure sur Internet "instaurée par certains gouvernements et tolérée par certaines grandes entreprises."
Si les sociétés américaines Google, ! et Microsoft présentes en Chine sont les premières visées par la résolution européenne, il y a fort à parier que d'autres entités actives sur le web, européennes incluses, soient concernées.
Ainsi, à travers sa résolution, le pouvoir législatif européen rappelle que "la liberté d'expression est une valeur fondamentale partagée par tous les pays de l'UE et qu'ils doivent prendre des mesures concrètes pour la défendre."
Dans ce contexte, le Parlement demande au Conseil de l'UE et à ses Etats membres de confirmer leur engagement vis-à-vis de la protection des droits des internautes et de la liberté d'expression dans le monde, à travers une déclaration commune.
Le Parlement européen, lui-même, réitère son soutien aux principes édictés lors du Sommet mondial sur la société de l'information à Tunis, en novembre 2005, à savoir :
Bâtir la société de l'information sur le socle des droits de l'Homme et des libertés fondamentales, lutter contre la fracture numérique, favoriser le développement, "pour une gouvernance de l'Internet plus équilibrée, pluraliste et représentative des Etats."
Le Parlement européen dénonce les atteintes à la libre expression sur Internet.
Jeudi 6 juillet 2006, les eurodéputés des groupes PPE-DE, PSE, ADLE, Verts/ALE, GUE/NGL et UEN ont adopté, par 65 voix pour, 0 contre et 2 abstentions, une résolution commune contre la censure sur Internet "instaurée par certains gouvernements et tolérée par certaines grandes entreprises."
Si les sociétés américaines Google, ! et Microsoft présentes en Chine sont les premières visées par la résolution européenne, il y a fort à parier que d'autres entités actives sur le web, européennes incluses, soient concernées.
Ainsi, à travers sa résolution, le pouvoir législatif européen rappelle que "la liberté d'expression est une valeur fondamentale partagée par tous les pays de l'UE et qu'ils doivent prendre des mesures concrètes pour la défendre."
Dans ce contexte, le Parlement demande au Conseil de l'UE et à ses Etats membres de confirmer leur engagement vis-à-vis de la protection des droits des internautes et de la liberté d'expression dans le monde, à travers une déclaration commune.
Le Parlement européen, lui-même, réitère son soutien aux principes édictés lors du Sommet mondial sur la société de l'information à Tunis, en novembre 2005, à savoir :
Bâtir la société de l'information sur le socle des droits de l'Homme et des libertés fondamentales, lutter contre la fracture numérique, favoriser le développement, "pour une gouvernance de l'Internet plus équilibrée, pluraliste et représentative des Etats."