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Selon une étude Jupiter Research, seul un tiers des européens sont prêts à payer pour des services ou des contenus sur un téléphone mobile
Mauvaise nouvelle pour les opérateurs 3G ? Dans une nouvelle intitulée “European Mobile Services Consumer Survey, 2006”, le cabinet d'études Jupiter Research révèle que seuls 32% des utilisateurs de mobiles en Europe (33% en France) sont prêts à payer pour des services et des contenus mobiles au-delà des SMS.
En matière d'usages "data", le SMS est plébiscité avec un taux d'usages de 79%, devant la prise et l'envoi de photos (28%), le téléchargement de jeux, sonneries et logos (15%) et la consultation de vidéos (8%).
"Les usages sont certes encourageants pour les 23 millions d'utilisateurs 3G que comptaient l'Europe de l'Ouest à la fin 2005, mais il s'agit essentiellement d'early adopters déjà ouverts aux services multimédias mobiles et un effet de dilution de l'ARPU aura nécessairement lieu maintenant que le marché de la 3G se diffuse auprès du grand public" avertit Thomas Husson, auteur de l'étude et analyste mobile chez Jupiter Research à Paris.
Ligne fixe ou lignes mobiles, les consommateurs sont donc prêts à payer pour leurs communication mais hésitent à acheter des contenus et services additionnels sur lesquels misent pourtant les opérateurs pour compenser les baisses de tarifs ou augmenter leurs revenus.
Mauvaise nouvelle pour les opérateurs 3G ? Dans une nouvelle intitulée “European Mobile Services Consumer Survey, 2006”, le cabinet d'études Jupiter Research révèle que seuls 32% des utilisateurs de mobiles en Europe (33% en France) sont prêts à payer pour des services et des contenus mobiles au-delà des SMS.
En matière d'usages "data", le SMS est plébiscité avec un taux d'usages de 79%, devant la prise et l'envoi de photos (28%), le téléchargement de jeux, sonneries et logos (15%) et la consultation de vidéos (8%).
"Les usages sont certes encourageants pour les 23 millions d'utilisateurs 3G que comptaient l'Europe de l'Ouest à la fin 2005, mais il s'agit essentiellement d'early adopters déjà ouverts aux services multimédias mobiles et un effet de dilution de l'ARPU aura nécessairement lieu maintenant que le marché de la 3G se diffuse auprès du grand public" avertit Thomas Husson, auteur de l'étude et analyste mobile chez Jupiter Research à Paris.
Ligne fixe ou lignes mobiles, les consommateurs sont donc prêts à payer pour leurs communication mais hésitent à acheter des contenus et services additionnels sur lesquels misent pourtant les opérateurs pour compenser les baisses de tarifs ou augmenter leurs revenus.