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Quelques semaines après Alcatel et Lucent, c'est au tour du finlandais Nokia et de l'allemand Siemens de fusionner leurs activités d'équipementier télécom
La montée en puissance d'équipementiers chinois comme Huawei ou ZTE accélèrent la concentration parmi les pionniers occidentaux. Quelques semaines après la fusion Alcatel Lucent, le Wall Street Journal croit savoir que ce serait au tour du finlandais Nokia et de l'allemand Siemens de fusionner leurs activités d'équipementier télécom. L'activité terminaux mobiles de Siemens avait déjà été cédée, début 2005, à une co-entreprise créée avec le constructeur taïwanais Benq (groupe Acer).
Baptisée Nokia Siemens Networks et spécialisée dans la construction d'équipements cellulaires, la nouvelle entité serait détenue à 50/50 par les deux groupes mais serait dominée sur le plan opérationnel par les équipes de Nokia, qui garderait la majorité au conseil d'administration.
Le nouveau groupe pourrait réaliser 1.25 milliards d'euros d'économie par an et atteindre un chiffre d'affaires de 20 milliards d'euros, le plaçant à égalité avec l'américain ou le français Alcatel-Lucent. Reste à savoir si d'autres pionniers comme Nortel, Qualcomm ou Ericsson envisageront à leur tour ce type d'opération afin de garder leur rang sur un marché désormais mondialisé.
La montée en puissance d'équipementiers chinois comme Huawei ou ZTE accélèrent la concentration parmi les pionniers occidentaux. Quelques semaines après la fusion Alcatel Lucent, le Wall Street Journal croit savoir que ce serait au tour du finlandais Nokia et de l'allemand Siemens de fusionner leurs activités d'équipementier télécom. L'activité terminaux mobiles de Siemens avait déjà été cédée, début 2005, à une co-entreprise créée avec le constructeur taïwanais Benq (groupe Acer).
Baptisée Nokia Siemens Networks et spécialisée dans la construction d'équipements cellulaires, la nouvelle entité serait détenue à 50/50 par les deux groupes mais serait dominée sur le plan opérationnel par les équipes de Nokia, qui garderait la majorité au conseil d'administration.
Le nouveau groupe pourrait réaliser 1.25 milliards d'euros d'économie par an et atteindre un chiffre d'affaires de 20 milliards d'euros, le plaçant à égalité avec l'américain ou le français Alcatel-Lucent. Reste à savoir si d'autres pionniers comme Nortel, Qualcomm ou Ericsson envisageront à leur tour ce type d'opération afin de garder leur rang sur un marché désormais mondialisé.
