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L'américain Verizon aurait proposé une nouvelle offre à 48 Md$ pour racheter les 45% dont dispose l'opérateur mobile britannique dans Verizon Wireless.
Verizon aurait relevé son offre de rachat des parts de l'opérateur mobile britannique Vodafone dans leur filiale mobile commune : Verizon Wireless.
Si l'on en croit l'édition dominicale du Guardian, The Observer, le groupe télécoms américain Verizon serait prêt à débourser 48 milliards de dollars, contre 38 Md$ initialement, pour acquérir les 45% dont dispose Vodafone.
Au total, dette incluse, la transaction s'élèverait à 56 milliards de dollars.
Vodafone n'a pas commenté cette information. Toutefois, Arun Sarin, président du géant mobile britannique, pourrait annoncer sa décision fin mai 2006 lors d'une présentation destinée aux investisseurs.
Si elle est confirmée, l'opération pourrait être bénéfique aux deux opérateurs anglo-saxons. Vodafone disposerait de moyens supplémentaires pour innover et conforter sa domination du marché européen de la téléphonie mobile.
De son côté, l'opérateur 'longue distance' américain Verizon serait en mesure de mieux concurrencer "le nouvel AT&T" qui, à travers les acquisitions de BellSouth et de Cingular Wireless, lui vole la vedette sur le marché US des communications.
Verizon aurait relevé son offre de rachat des parts de l'opérateur mobile britannique Vodafone dans leur filiale mobile commune : Verizon Wireless.
Si l'on en croit l'édition dominicale du Guardian, The Observer, le groupe télécoms américain Verizon serait prêt à débourser 48 milliards de dollars, contre 38 Md$ initialement, pour acquérir les 45% dont dispose Vodafone.
Au total, dette incluse, la transaction s'élèverait à 56 milliards de dollars.
Vodafone n'a pas commenté cette information. Toutefois, Arun Sarin, président du géant mobile britannique, pourrait annoncer sa décision fin mai 2006 lors d'une présentation destinée aux investisseurs.
Si elle est confirmée, l'opération pourrait être bénéfique aux deux opérateurs anglo-saxons. Vodafone disposerait de moyens supplémentaires pour innover et conforter sa domination du marché européen de la téléphonie mobile.
De son côté, l'opérateur 'longue distance' américain Verizon serait en mesure de mieux concurrencer "le nouvel AT&T" qui, à travers les acquisitions de BellSouth et de Cingular Wireless, lui vole la vedette sur le marché US des communications.