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Face aux stratégies d'opérateur intégré de ses concurrents, le groupe Vodafone vend sa filiale japonaiseet se déclare intéressé par le fixe...
Le marché du téléphone mobile arrive à saturation et ses champions recherchent de nouveaux relais de croissance. Face aux stratégies d'opérateur intégré de ses concurrents comme Orange, T-Mobile ou encore DoCoMo, Arun Sarin, directeur général du groupe britannique Vodafone, a profité d'une interview au journal The Business pour se déclarer intéressé par la téléphonie fixe.
Numéro un européen de la téléphonie mobile suite à sa méga fusion avec Mannesmann en 2000, Vodafone est progressivement devenu numéro un mondial en rachetant J-phone au Japon ou en contrôlant une partie du capital de Verizon Wireless, l'un des principaux opérateurs américains.
Mais avec la cession de sa filiale japonaise à Softbank pour 13 milliards d'euros, le groupe pourrait revoir sa stratégie. Parmi les cibles potentielles, on peut par exemple citer BT, opérateur historique britannique et partenaire de Vodafone dans le projet BluePhone, mais également le groupe français SFR, numéro deux français du mobile et actionnaire de , numéro deux du fixe.
Ces hypothèses font en tout cas flamber le cours de Vivendi Universal, actionnaire principal de SFR et Neuf Cegetel, qui gagne plus de 7% sur EuroNext Paris depuis une semaine.
Le marché du téléphone mobile arrive à saturation et ses champions recherchent de nouveaux relais de croissance. Face aux stratégies d'opérateur intégré de ses concurrents comme Orange, T-Mobile ou encore DoCoMo, Arun Sarin, directeur général du groupe britannique Vodafone, a profité d'une interview au journal The Business pour se déclarer intéressé par la téléphonie fixe.
Numéro un européen de la téléphonie mobile suite à sa méga fusion avec Mannesmann en 2000, Vodafone est progressivement devenu numéro un mondial en rachetant J-phone au Japon ou en contrôlant une partie du capital de Verizon Wireless, l'un des principaux opérateurs américains.
Mais avec la cession de sa filiale japonaise à Softbank pour 13 milliards d'euros, le groupe pourrait revoir sa stratégie. Parmi les cibles potentielles, on peut par exemple citer BT, opérateur historique britannique et partenaire de Vodafone dans le projet BluePhone, mais également le groupe français SFR, numéro deux français du mobile et actionnaire de , numéro deux du fixe.
Ces hypothèses font en tout cas flamber le cours de Vivendi Universal, actionnaire principal de SFR et Neuf Cegetel, qui gagne plus de 7% sur EuroNext Paris depuis une semaine.