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Malgré la fusion, le groupe Konica et Minolta peine sur le marché de la photographie et a décidé d'abandonner ses activités dans l'argentique et le numérique
Malgré l'engouement des consommateurs pour les appareils photos numériques (4.6 millions d'APN vendus en 2005 en France), certains constructeurs ont décidé de jeter l'éponge, faute de rentabilité.
Trois ans après la fusion entre Konica et Minolta, réalisée pour augmenter leur productivité, le groupe japonais a décidé d'abandonner le marché de la photographie argentique mais également celui de la photographie numérique. Le groupe entend se recentrer sur des activités moins concurrentielles comme la bureautique et a décidé de céder à Sony l'ensemble de ses activités photographiques.
Konica Minolta n'a pas su gérer un environnement particulièrement concurrentiel, marqué par l'arrivée de marques grand publics (Sony), de constructeurs informatiques (HP), de Montres (Casio) sans oublier la cannibalisation partielle du marché par les constructeurs de téléphones mobiles.
Konica Minolta n'est toutefois pas le seul leader à souffrir. Outre Nikon, qui vient d'annoncer l'abandon de l'argentique, un ex-leader comme Kodak multiplie les pertes et les licenciements, pour avoir tardé à se recentrer dans la photographie numérique
Malgré l'engouement des consommateurs pour les appareils photos numériques (4.6 millions d'APN vendus en 2005 en France), certains constructeurs ont décidé de jeter l'éponge, faute de rentabilité.
Trois ans après la fusion entre Konica et Minolta, réalisée pour augmenter leur productivité, le groupe japonais a décidé d'abandonner le marché de la photographie argentique mais également celui de la photographie numérique. Le groupe entend se recentrer sur des activités moins concurrentielles comme la bureautique et a décidé de céder à Sony l'ensemble de ses activités photographiques.
Konica Minolta n'a pas su gérer un environnement particulièrement concurrentiel, marqué par l'arrivée de marques grand publics (Sony), de constructeurs informatiques (HP), de Montres (Casio) sans oublier la cannibalisation partielle du marché par les constructeurs de téléphones mobiles.
Konica Minolta n'est toutefois pas le seul leader à souffrir. Outre Nikon, qui vient d'annoncer l'abandon de l'argentique, un ex-leader comme Kodak multiplie les pertes et les licenciements, pour avoir tardé à se recentrer dans la photographie numérique
