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Malgré une nouvelle forte hausse de son chiffre d'affaires, les analystes commencent à s'inquiéter de la hausse des coûts d'acquisition de trafic de .
Média ou Régie ? Malgré le succès de Google ou les ambitions de Microsoft, Yahoo reste une valeur sûre de la neteconomie et vient de faire état de ses résultats financiers trimestriels avec un bénéfice net de 754,7 M$ en T2 2005, artificiellement gonflé par des cessions exceptionnelles de 563 M$ dont la nature n'a pas été révélée.
Le chiffre d'affaires trimestriel est également en forte hausse à 1253 M$, essentiellement grâce aux revenus du marketing à la performance générant à lui seul 1094 M$ contre 159 M$ pour les services premium.
Mais derrière ces excellents chiffres, les analystes ont observé que la croissance du marketing à la performance (+51%) était supérieure aux reversements directs pour Yahoo (+41%) laissant supposer une hausse des reversements aux supports dont l'ex-Overture assure la gestion des liens sponsorisés.
Malgré quelques ajustements sur le cours de bourse et les prévisions des analystes, Yahoo reste en tout cas un poids lourd de la neteconomie américaine et poursuit sa forte croissance sur tous les continents. Reste à savoir si le lancement de nouveaux services comme Yahoo Music Unlimited permettra au groupe, qui dépend aujourd'hui essentiellement de la publicité, d'augmenter la part de ses revenus "premium".
Média ou Régie ? Malgré le succès de Google ou les ambitions de Microsoft, Yahoo reste une valeur sûre de la neteconomie et vient de faire état de ses résultats financiers trimestriels avec un bénéfice net de 754,7 M$ en T2 2005, artificiellement gonflé par des cessions exceptionnelles de 563 M$ dont la nature n'a pas été révélée.
Le chiffre d'affaires trimestriel est également en forte hausse à 1253 M$, essentiellement grâce aux revenus du marketing à la performance générant à lui seul 1094 M$ contre 159 M$ pour les services premium.
Mais derrière ces excellents chiffres, les analystes ont observé que la croissance du marketing à la performance (+51%) était supérieure aux reversements directs pour Yahoo (+41%) laissant supposer une hausse des reversements aux supports dont l'ex-Overture assure la gestion des liens sponsorisés.
Malgré quelques ajustements sur le cours de bourse et les prévisions des analystes, Yahoo reste en tout cas un poids lourd de la neteconomie américaine et poursuit sa forte croissance sur tous les continents. Reste à savoir si le lancement de nouveaux services comme Yahoo Music Unlimited permettra au groupe, qui dépend aujourd'hui essentiellement de la publicité, d'augmenter la part de ses revenus "premium".
