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Financements, innovations et universités, partenariats publics/privés, comptent parmi les leviers de croissance que la France doit saisir, selon l'ANRT.
FutuRIS a dévoilé mardi 14 juin 2005 lors d'un point presse ses propositions visant à assurer le développement et le rayonnement des entreprises innovantes en France.
Groupe de réflexion ("think tank") formé dans le cadre des missions de l'Association nationale recherche technique (www.anrt.asso.fr), FutuRIS a indiqué plusieurs pistes de progrès.
Pour rattraper leur retard, a-t-elle préconisé, France et Europe doivent travailler à la relance de la R&D dans les grands groupes tout en favorisant le développement des jeunes pousses, plutôt que d'opposer ces deux approches.
Par ailleurs, FutuRIS a rappelé que "certains grands succès en matière d'emploi et de prospérité collective viennent d'innovations dans les services ou la distribution, ne reposant pas sur une percée high-tech".
Rassurons-nous, il n'est pas question ici de gagner une "bataille pour l'emploi" par le biais du développement des "services à la personne [...] évolution naturelle d'une économie moderne et humaine", selon Dominique de VILLEPIN, Premier ministre. On croit cauchemarder !
Revenons aux réflexions du groupe présidé par Gérard WORMS (Banque Rothschild), FutuRIS. Celui-ci a conclu sa présentation en indiquant "des mesures applicables immédiatement", mesures à suivre et à évaluer :
Les plafonds applicables en matière de "capital de proximité, d'investissement des personnes physiques dans le capital-risque ou directement dans des entreprises innovantes" devraient êtres relevés à 150.000 euros (plafond unifié cumulé).
L'innovation doit être placée au cœur de l'université française dépoussiérée, les étudiants du supérieur formés à l'entrepreneuriat, la mobilité internationale favorisée, les interactions et partenariats publics/privés prendre de l'ampleur.
Enfin, Il est grand temps que l'administration française se résolve "à faciliter la vie des jeunes entreprises innovantes".
La sortie de déprime "Fabriquée en France" passe par la flexibilité et le dynamisme de chacun : citoyen, industriel, politique, formateur, membre d'une association ou d'une organisation professionnelle... CGT et Medef ne sont pas exemptés.
D'autres pays européens, je pense aux pays scandinaves plus qu'à l'Angleterre, ont beaucoup à nous apprendre en terme de dynamisme économique et social.
FutuRIS a dévoilé mardi 14 juin 2005 lors d'un point presse ses propositions visant à assurer le développement et le rayonnement des entreprises innovantes en France.
Groupe de réflexion ("think tank") formé dans le cadre des missions de l'Association nationale recherche technique (www.anrt.asso.fr), FutuRIS a indiqué plusieurs pistes de progrès.
Pour rattraper leur retard, a-t-elle préconisé, France et Europe doivent travailler à la relance de la R&D dans les grands groupes tout en favorisant le développement des jeunes pousses, plutôt que d'opposer ces deux approches.
Par ailleurs, FutuRIS a rappelé que "certains grands succès en matière d'emploi et de prospérité collective viennent d'innovations dans les services ou la distribution, ne reposant pas sur une percée high-tech".
Rassurons-nous, il n'est pas question ici de gagner une "bataille pour l'emploi" par le biais du développement des "services à la personne [...] évolution naturelle d'une économie moderne et humaine", selon Dominique de VILLEPIN, Premier ministre. On croit cauchemarder !
Revenons aux réflexions du groupe présidé par Gérard WORMS (Banque Rothschild), FutuRIS. Celui-ci a conclu sa présentation en indiquant "des mesures applicables immédiatement", mesures à suivre et à évaluer :
Les plafonds applicables en matière de "capital de proximité, d'investissement des personnes physiques dans le capital-risque ou directement dans des entreprises innovantes" devraient êtres relevés à 150.000 euros (plafond unifié cumulé).
L'innovation doit être placée au cœur de l'université française dépoussiérée, les étudiants du supérieur formés à l'entrepreneuriat, la mobilité internationale favorisée, les interactions et partenariats publics/privés prendre de l'ampleur.
Enfin, Il est grand temps que l'administration française se résolve "à faciliter la vie des jeunes entreprises innovantes".
La sortie de déprime "Fabriquée en France" passe par la flexibilité et le dynamisme de chacun : citoyen, industriel, politique, formateur, membre d'une association ou d'une organisation professionnelle... CGT et Medef ne sont pas exemptés.
D'autres pays européens, je pense aux pays scandinaves plus qu'à l'Angleterre, ont beaucoup à nous apprendre en terme de dynamisme économique et social.