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Après Sony Ericsson ou Alcatel-TCL, ce serait au tour de Siemens de s'allier au constructeur taïwanais BenQ pour construire des téléphones mobiles
Cap à l'Est ! Après l'alliance entre le suédois Ericsson et le japonais Sony ou plus récemment du français Alcatel avec le chinois TCL, ce serait au tour de Siemens, dont la division téléphonie mobile est en déficit, de s'allier au constructeur taïwanais BenQ, la marque "mobile" du conglomérat Acer.
Selon le journal économique britannique The Financial Times, le conseil de surveillance de Siemens devrait annoncer la création du coentreprise avec Benq d'ici quelques heures.
Bousculé par la montée en puissance de constructeurs sud coréens comme Samsung ou LG, Siemens voit ses parts de marché reculer et ne semble avoir d'autre choix que de réduire ses coûts en délocalisant la production à Taïwan.
L'association avec un constructeur asiatique ne semble toutefois pas être une fatalité puisque Nokia, solide leader mondial, mise sur des usines en Europe de l'Est, en particulier en Estonie, pour réduire ses coûts tandis que le français Sagem (Groupe Safran) a de son côté récemment ouvert une usine de production au Brésil.
Cap à l'Est ! Après l'alliance entre le suédois Ericsson et le japonais Sony ou plus récemment du français Alcatel avec le chinois TCL, ce serait au tour de Siemens, dont la division téléphonie mobile est en déficit, de s'allier au constructeur taïwanais BenQ, la marque "mobile" du conglomérat Acer.
Selon le journal économique britannique The Financial Times, le conseil de surveillance de Siemens devrait annoncer la création du coentreprise avec Benq d'ici quelques heures.
Bousculé par la montée en puissance de constructeurs sud coréens comme Samsung ou LG, Siemens voit ses parts de marché reculer et ne semble avoir d'autre choix que de réduire ses coûts en délocalisant la production à Taïwan.
L'association avec un constructeur asiatique ne semble toutefois pas être une fatalité puisque Nokia, solide leader mondial, mise sur des usines en Europe de l'Est, en particulier en Estonie, pour réduire ses coûts tandis que le français Sagem (Groupe Safran) a de son côté récemment ouvert une usine de production au Brésil.