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Après la cession de son activité PC à Lenovo, continue sa restructuration en annonçant plus de 12.000 licenciements dont près d'un millier en France
Big Blue ne fera pas de sentiments. Après la cession de son activité PC au constructeur chinois Lenovo, IBM continue sa restructuration en annonçant plus de 12.000 licenciements à travers le monde.
Les licenciements devraient toutefois essentiellement toucher le vieux continent et les syndicats estiment que IBM Allemagne devrait perdre 2500 postes contre environ 1000 pour la filiale française. En Europe, IBM emploie près de 100.000 personnes contre 329.000 à l'échelle mondiale.
Le groupe a provisionné entre 1,3 et 1,7 milliard de dollars pour financer ces départs et espère réaliser dès le second semestre 2005 des économies de l'ordre de 500 millions de dollars. Cette restructuration devrait permettre à IBM, en plein recentrage sur les services et les progiciels, de faire face à la concurrence d'autres groupes américains ainsi qu'à celle de sociétés informatiques chinoises ou indiennes, très agressives en matière d'infogérance.
Big Blue ne fera pas de sentiments. Après la cession de son activité PC au constructeur chinois Lenovo, IBM continue sa restructuration en annonçant plus de 12.000 licenciements à travers le monde.
Les licenciements devraient toutefois essentiellement toucher le vieux continent et les syndicats estiment que IBM Allemagne devrait perdre 2500 postes contre environ 1000 pour la filiale française. En Europe, IBM emploie près de 100.000 personnes contre 329.000 à l'échelle mondiale.
Le groupe a provisionné entre 1,3 et 1,7 milliard de dollars pour financer ces départs et espère réaliser dès le second semestre 2005 des économies de l'ordre de 500 millions de dollars. Cette restructuration devrait permettre à IBM, en plein recentrage sur les services et les progiciels, de faire face à la concurrence d'autres groupes américains ainsi qu'à celle de sociétés informatiques chinoises ou indiennes, très agressives en matière d'infogérance.
