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L'organisation internationale du disque poursuit 963 internautes soupçonnés de diffusion et de téléchargement sans autorisation de musique sous copyright.
La Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI) vient de lancer une nouvelle offensive juridique visant plus de 963 internautes soupçonnés de piratage de musique en ligne.
Cette nouvelle vague de plaintes cible des internautes installés en Europe (Allemagne, Autriche, Danemark, Finlande, France, Irlande, Islande, Italie,
Pays-Bas, Royaume Uni) et en Asie (Japon), a précisé l'IFPI le 12 avril 2005.
Selon l'organisation (www.ifpi.org), ces actions portent à plus de 11.550 le nombre de poursuites engagées par l'industrie du disque contre des internautes accusés de diffusion et de téléchargements illégaux de musique en ligne par le biais du P2P.
"Illégal" signifie ici que de la musique sous copyright a été diffusée et partagée sur le Net de "poste à poste" (via eDonkey, eMule, Gnutella, Kazaa, OpenNap, etc.), sans autorisation et, par conséquent, sans rétribution des ayants droits.
Ceci dit, l'échange P2P en lui-même n'est pas illégal. Il existe des alternatives permettant d'intégrer le peer-to-peer à l'économie de la filière musicale (copyleft, licences Creative Commons, autres licences, etc.)
En France, où 20% des foyers sont équipés d'une connexion haut débit, 14% des internautes téléchargent de la musique en ligne par le biais du P2P, soit environ 6,5 millions de personnes, selon l'IFPI.
C'est beaucoup par rapport aux 800.000 internautes qui utilisent les services payants équipés de DRM et reconnus par les majors du disque. Parmi ces services : iTunes Music Store, Sony Connect, VirginMega.fr, OD2 France, e-compil.fr et fnac.com.
Sur le marché français, les revenus générés par l'industrie du disque ont baissé de 348,6 millions d'euros entre 2002 et 2004, soit une baisse de 27%. Par ailleurs, les signatures de nouveaux artistes ont chuté de 50% sur la période.
La faute à qui ?
La Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI) vient de lancer une nouvelle offensive juridique visant plus de 963 internautes soupçonnés de piratage de musique en ligne.
Cette nouvelle vague de plaintes cible des internautes installés en Europe (Allemagne, Autriche, Danemark, Finlande, France, Irlande, Islande, Italie,
Pays-Bas, Royaume Uni) et en Asie (Japon), a précisé l'IFPI le 12 avril 2005.
Selon l'organisation (www.ifpi.org), ces actions portent à plus de 11.550 le nombre de poursuites engagées par l'industrie du disque contre des internautes accusés de diffusion et de téléchargements illégaux de musique en ligne par le biais du P2P.
"Illégal" signifie ici que de la musique sous copyright a été diffusée et partagée sur le Net de "poste à poste" (via eDonkey, eMule, Gnutella, Kazaa, OpenNap, etc.), sans autorisation et, par conséquent, sans rétribution des ayants droits.
Ceci dit, l'échange P2P en lui-même n'est pas illégal. Il existe des alternatives permettant d'intégrer le peer-to-peer à l'économie de la filière musicale (copyleft, licences Creative Commons, autres licences, etc.)
En France, où 20% des foyers sont équipés d'une connexion haut débit, 14% des internautes téléchargent de la musique en ligne par le biais du P2P, soit environ 6,5 millions de personnes, selon l'IFPI.
C'est beaucoup par rapport aux 800.000 internautes qui utilisent les services payants équipés de DRM et reconnus par les majors du disque. Parmi ces services : iTunes Music Store, Sony Connect, VirginMega.fr, OD2 France, e-compil.fr et fnac.com.
Sur le marché français, les revenus générés par l'industrie du disque ont baissé de 348,6 millions d'euros entre 2002 et 2004, soit une baisse de 27%. Par ailleurs, les signatures de nouveaux artistes ont chuté de 50% sur la période.
La faute à qui ?
