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Avec les Autolinks de sa nouvelle ToolBar, certains internautes accusent Google de ressusciter les "Smart Tags" imaginés il y a peu par Microsoft
La rançon de la gloire ? A peine lancée aux Etats-Unis, la nouvelle toolbar de Google fait déjà des vagues. La version 3 de ce petit logiciel inaugure en effet une nouvelle technologie baptisée "AutoLink" ne se basant plus sur la simple recherche sémantique mais envoyant l'internaute vers des bases de données structurées.
Ainsi, un "autolink" sur une adresse postale renvoie vers le nouveau service de cartographie Google Maps mais le système peut également servir pour un livre en renvoyant directement vers un marchand comme Amazon, disposant de l'ouvrage à la vente.
Certainement imaginé pour faciliter la vie des internautes, ce dispositif soulève néanmoins de nombreuses critiques de célèbres bloggeurs comme Dan Gillmor ou Steve Rubel, qui craignent que Google finisse par substituer un index naturel (et théoriquement objectif) par une base de données structurée et organisée selon ses seuls intérêts financiers. La blogosphère fait ainsi le parallèle entre les autolinks de Google et le projets de "Smart Tags", imaginés il y a quelques années par Microsoft, pour enrichir les documents de sa suite Office.
Fondées ou pas, ces critiques démontrent en tout cas l'incroyable réactivité des bloggers et surtout que la frontière en l'univers de la recherche en ligne et celui de la publicité reste fragile...
La rançon de la gloire ? A peine lancée aux Etats-Unis, la nouvelle toolbar de Google fait déjà des vagues. La version 3 de ce petit logiciel inaugure en effet une nouvelle technologie baptisée "AutoLink" ne se basant plus sur la simple recherche sémantique mais envoyant l'internaute vers des bases de données structurées.
Ainsi, un "autolink" sur une adresse postale renvoie vers le nouveau service de cartographie Google Maps mais le système peut également servir pour un livre en renvoyant directement vers un marchand comme Amazon, disposant de l'ouvrage à la vente.
Certainement imaginé pour faciliter la vie des internautes, ce dispositif soulève néanmoins de nombreuses critiques de célèbres bloggeurs comme Dan Gillmor ou Steve Rubel, qui craignent que Google finisse par substituer un index naturel (et théoriquement objectif) par une base de données structurée et organisée selon ses seuls intérêts financiers. La blogosphère fait ainsi le parallèle entre les autolinks de Google et le projets de "Smart Tags", imaginés il y a quelques années par Microsoft, pour enrichir les documents de sa suite Office.
Fondées ou pas, ces critiques démontrent en tout cas l'incroyable réactivité des bloggers et surtout que la frontière en l'univers de la recherche en ligne et celui de la publicité reste fragile...