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Pétard mouillé ? Le système de protection utilisé par le nouveau service Napster de téléchargement de fichiers musicaux prend l'eau.
Entre DRM et Hackers, Napster garde son calme.
Devenue plate-forme légale et payante de téléchargement de musique en ligne, Napster tente de se démarquer de la référence du marché, l'Apple iTunes Music Store.
Plus que le tarif à l'unité téléchargée, Napster privilégie l'abonnement au forfait comme cela se fait dans la téléphonie mobile. Dans cet esprit, le kiosque a lancé aux Etats-Unis, puis en Angleterre début février 2005, le service Napster To Go.
Cette offre facturée £14,95 par mois permet à l'internaute de télécharger un nombre illimité de fichiers musicaux vers un lecteur portable de musique numérique compatible au format Microsoft Windows Media Audio (WMA). A ce jour, 5 baladeurs fonctionnent avec Napster To Go.
Les fichiers téléchargés sont protégés par un système de gestion des droits numériques (DRM). Une fois l'abonnement terminé, ces fichiers sont censés être inutilisables, l'internaute est donc locataire et non propriétaire des titres.
Par ailleurs, le système a été conçu pour bloquer les téléchargements sur cd vierges, à moins de payer 99 cents de plus par titre... Mais voilà, plusieurs internautes ont trouvé la faille :
Convertir au format WAV les fichiers téléchargés sur Napster par le biais de logiciels largement diffusés sur le Net, puis les graver sur un cd ou les compresser au format MP3.
Trop facile ? Napster a choisi de ne pas s'en émouvoir : "Les internautes peuvent faire cela depuis n'importe quel service légal de musique en ligne", a déclaré une porte-parole de la société.
En résumé, il sera toujours possible de contourner un système au détriment des ayants droit, et Napster 'nouveau cru' préfère communiquer sur l'utilisation légale de ses services.
Entre DRM et Hackers, Napster garde son calme.
Devenue plate-forme légale et payante de téléchargement de musique en ligne, Napster tente de se démarquer de la référence du marché, l'Apple iTunes Music Store.
Plus que le tarif à l'unité téléchargée, Napster privilégie l'abonnement au forfait comme cela se fait dans la téléphonie mobile. Dans cet esprit, le kiosque a lancé aux Etats-Unis, puis en Angleterre début février 2005, le service Napster To Go.
Cette offre facturée £14,95 par mois permet à l'internaute de télécharger un nombre illimité de fichiers musicaux vers un lecteur portable de musique numérique compatible au format Microsoft Windows Media Audio (WMA). A ce jour, 5 baladeurs fonctionnent avec Napster To Go.
Les fichiers téléchargés sont protégés par un système de gestion des droits numériques (DRM). Une fois l'abonnement terminé, ces fichiers sont censés être inutilisables, l'internaute est donc locataire et non propriétaire des titres.
Par ailleurs, le système a été conçu pour bloquer les téléchargements sur cd vierges, à moins de payer 99 cents de plus par titre... Mais voilà, plusieurs internautes ont trouvé la faille :
Convertir au format WAV les fichiers téléchargés sur Napster par le biais de logiciels largement diffusés sur le Net, puis les graver sur un cd ou les compresser au format MP3.
Trop facile ? Napster a choisi de ne pas s'en émouvoir : "Les internautes peuvent faire cela depuis n'importe quel service légal de musique en ligne", a déclaré une porte-parole de la société.
En résumé, il sera toujours possible de contourner un système au détriment des ayants droit, et Napster 'nouveau cru' préfère communiquer sur l'utilisation légale de ses services.