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Quelques semaines après le lancement des moteurs de recherche sur disque dur par Google, ou MSN, c'est au tour d'Exalead d'annoncer sa propre application
En France, on a pas de pétrole mais on a Exalead. Quelques semaines après le lancement des moteurs de recherche sur disque dur par Google, Yahoo ou MSN, c'est au tour d'Exalead d'annoncer sa propre application de "desktop search".
Baptisé simplement "Exalead Desktop", ce nouveau logiciel devrait être disponible en beta au mois de Mars et proposera indexation des fichiers du disque dur et recherche instantanée. La version de base devrait être gratuite pour un usage non commercial et Exalead réfléchit encore à la tarification pour la version pro.
Mais en attendant de s'attaquer aux Disques durs, la priorité d'Exalead reste le "online" avec un index qui dépasse désormais le milliards d'URL et un objectif de 2 milliards, avec l'indexation prochaine des blogs et des flux RSS.
Avec Voila.fr, Reacteur.com, Dir.com ou encore Kartoo, Exalead démontre que les ingénieurs Français n'ont pas capitulé devant les puissants moteurs américains de Yahoo, MSN ou Google. Reste à convaincre les internautes français de changer leurs habitudes...
En France, on a pas de pétrole mais on a Exalead. Quelques semaines après le lancement des moteurs de recherche sur disque dur par Google, Yahoo ou MSN, c'est au tour d'Exalead d'annoncer sa propre application de "desktop search".
Baptisé simplement "Exalead Desktop", ce nouveau logiciel devrait être disponible en beta au mois de Mars et proposera indexation des fichiers du disque dur et recherche instantanée. La version de base devrait être gratuite pour un usage non commercial et Exalead réfléchit encore à la tarification pour la version pro.
Mais en attendant de s'attaquer aux Disques durs, la priorité d'Exalead reste le "online" avec un index qui dépasse désormais le milliards d'URL et un objectif de 2 milliards, avec l'indexation prochaine des blogs et des flux RSS.
Avec Voila.fr, Reacteur.com, Dir.com ou encore Kartoo, Exalead démontre que les ingénieurs Français n'ont pas capitulé devant les puissants moteurs américains de Yahoo, MSN ou Google. Reste à convaincre les internautes français de changer leurs habitudes...