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L'opérateur SBC a confirmé que la fusion avec son ex-maison mère AT&T entraînera la suppression prochaine de milliers d'emplois "redondants ".
Fusionner avec une ancienne maison mère en perte de vitesse ne se fait pas sans casse.
Confirmant les dires de la presse économique américaine, SBC Communications a signalé que le rachat pour la somme de 16 milliards de dollars d'AT&T, opérateur historique américain, entraînera la suppression de 13.000 postes jugés "redondants".
Pour prétendre surpasser Verizon, actuel numéro un des télécoms aux Etats-Unis, il ne suffit pas au futur "duo" SBC-AT&T de peser 71 milliards de dollars, soit l'équivalent de son concurrent.
SBC doit se réorganiser afin d'intégrer au mieux l'activité d'AT&T sur les marchés des communications longue distance et des entreprises.
Le 1er février 2005 lors d'un point presse en présence du CEO d'AT&T David DORMAN et du Président de SBC Edward WHITACRE, le groupe a précisé que plus de 5.100 emplois dans l'ingénierie, 3.400 dans l'exploitation, 2.600 parmi le personnel administratif et 1.700 postes commerciaux allaient être supprimés.
La direction de SBC a ajouté qu'elle privilégierait les départs volontaires aux licenciements. Les 13.000 suppressions de postes envisagées représentent 6% de l'effectif total de la nouvelle entité (210.000 collaborateurs), entité qui devrait être opérationnelle en 2006.
A travers ces réductions d'effectifs, le groupe SBC compte réaliser des synergies et des économies d'échelle estimées entre 200 et 600 millions de dollars l'an prochain, entre 1 à 1,6 milliard de dollars en 2007, et plus de 2 milliards en 2008...
Malgré les incertitudes, la concentration du marché américain des télécoms se poursuit. Ce mouvement s'est accéléré en 2004 dans la téléphonie mobile, secteur désormais dominé par Cingular Wireless, suivi de Verizon Wireless et de Sprint-Nextel.
Via sa filiale mobile Cingular Wireless, SBC a placé ses pions. L'opérateur compte désormais tirer profit du réseau fixe mondial d'AT&T tout en développant ses propres services d'accès haut débit (téléphonie sur IP, TV, Internet).
Fusionner avec une ancienne maison mère en perte de vitesse ne se fait pas sans casse.
Confirmant les dires de la presse économique américaine, SBC Communications a signalé que le rachat pour la somme de 16 milliards de dollars d'AT&T, opérateur historique américain, entraînera la suppression de 13.000 postes jugés "redondants".
Pour prétendre surpasser Verizon, actuel numéro un des télécoms aux Etats-Unis, il ne suffit pas au futur "duo" SBC-AT&T de peser 71 milliards de dollars, soit l'équivalent de son concurrent.
SBC doit se réorganiser afin d'intégrer au mieux l'activité d'AT&T sur les marchés des communications longue distance et des entreprises.
Le 1er février 2005 lors d'un point presse en présence du CEO d'AT&T David DORMAN et du Président de SBC Edward WHITACRE, le groupe a précisé que plus de 5.100 emplois dans l'ingénierie, 3.400 dans l'exploitation, 2.600 parmi le personnel administratif et 1.700 postes commerciaux allaient être supprimés.
La direction de SBC a ajouté qu'elle privilégierait les départs volontaires aux licenciements. Les 13.000 suppressions de postes envisagées représentent 6% de l'effectif total de la nouvelle entité (210.000 collaborateurs), entité qui devrait être opérationnelle en 2006.
A travers ces réductions d'effectifs, le groupe SBC compte réaliser des synergies et des économies d'échelle estimées entre 200 et 600 millions de dollars l'an prochain, entre 1 à 1,6 milliard de dollars en 2007, et plus de 2 milliards en 2008...
Malgré les incertitudes, la concentration du marché américain des télécoms se poursuit. Ce mouvement s'est accéléré en 2004 dans la téléphonie mobile, secteur désormais dominé par Cingular Wireless, suivi de Verizon Wireless et de Sprint-Nextel.
Via sa filiale mobile Cingular Wireless, SBC a placé ses pions. L'opérateur compte désormais tirer profit du réseau fixe mondial d'AT&T tout en développant ses propres services d'accès haut débit (téléphonie sur IP, TV, Internet).
