Bose a aujourd'hui annoncé le « VideoWave II », la nouvelle génération de son luxueux téléviseur Hi-Fi, combinant dans un même boîtier un écran et l'équivalent d'une barre de son home cinema.
Tout comme son prédécesseur, le « Bose VideoWave II » mise effectivement sur le WAF (Wife Acceptance Factor), c'est-à-dire sur la sobriété et la discrétion de l'ensemble, pour s'intégrer élégamment à une décoration d'intérieur.
Le téléviseur est plutôt épais, son cadre assez large, en dépit du recours, désormais, à un rétro-éclairage à LED, mais c'est parce qu'il cache pas moins de seize haut-parleurs, dont six woofers associés à un guide d'ondes acoustique, qui promettent d'être à la hauteur d'un encombrant ensemble home cinema 5.1. Une fonction de calibration automatique « ADAPTiQ » adapte pour ce faire le son aux propriétés acoustiques de la pièce.
Un boîtier déporté pour cacher les câbles
Il a beau être épais, ce téléviseur a recours à une « console », un boîtier déporté permettant de n'amener qu'un seul cordon jusqu'à l'écran, transmettant à la fois l'électricité et les signaux audio et vidéo. C'est ce boîtier qui abrite l'amplificateur et gère les sources, au travers d'un tuner TV, de six entrées HDMI et même d'un dock iPhone ou iPod fourni en série.
L'ensemble est commandé par une nouvelle télécommande « Click Pad », qui mise sur la simplicité avec seulement quelques boutons mais surtout un pavé tactile associé à une interface transparente s'affichant à l'écran. Elle a recours à la RF, et non à l'infrarouge, ce qui permet de cacher la console dans un meuble, laissant alors seulement l'écran apparent.
Le « Bose VideoWave II » est commercialisé dès à présent dans le monde entier. Le modèle de 46 pouces est vendu 5500 euros en France, celui de 55 pouces 6500 euros. Dommage qu'à ce prix la console n'embarque pas ses propres lecteur de Blu-ray et lecteur multimédia en réseau, une intégration qui aurait pu justifier l'investissement supplémentaire par rapport à une solution à éléments séparés.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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