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Mardi et mercredi, le site web du journal Liberation.fr a été pratiquement inaccessible, victime d'une attaque par "deni de service".
A qui profite le crime ? Mardi et mercredi, le site web du journal Liberation.fr a été pratiquement inaccessible, victime d'une attaque par "deni de service". Le principe est de saturer le serveur informatique par de multiples requêtes, obligeant le journal à fermer purement et simplement le site web en attendant la fin de l'attaque.
Ce type d'attaques devient de plus en plus fréquent et peut être réalisé depuis quelques ordinateurs optimisés à cet effet ou depuis des PC infectés par des chevaux de troie, réalisant ce type d'attaque à l'insu de leur propriétaire à l'image du mécanisme de MyDoom, un ver qui cherchait à saturer de nombreux serveurs comme celui de Microsoft.
Reste à comprendre la motivation des pirates. Au mieux il s'agît de quelques informaticiens en mal de médiatisation, au pire il s'agît d'une action cherchant à punir le journal pour la publication d'un article déplaisant, constituant une grave menace pour la liberté de la presse et la liberté d'expression.
A qui profite le crime ? Mardi et mercredi, le site web du journal Liberation.fr a été pratiquement inaccessible, victime d'une attaque par "deni de service". Le principe est de saturer le serveur informatique par de multiples requêtes, obligeant le journal à fermer purement et simplement le site web en attendant la fin de l'attaque.
Ce type d'attaques devient de plus en plus fréquent et peut être réalisé depuis quelques ordinateurs optimisés à cet effet ou depuis des PC infectés par des chevaux de troie, réalisant ce type d'attaque à l'insu de leur propriétaire à l'image du mécanisme de MyDoom, un ver qui cherchait à saturer de nombreux serveurs comme celui de Microsoft.
Reste à comprendre la motivation des pirates. Au mieux il s'agît de quelques informaticiens en mal de médiatisation, au pire il s'agît d'une action cherchant à punir le journal pour la publication d'un article déplaisant, constituant une grave menace pour la liberté de la presse et la liberté d'expression.