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Dans le cadre d'une enquête sur les finances de Vivendi Universal, M. Messier, ancien PDG du groupe multimédia, a été placé en garde à vue lundi.
Jean-Marie MESSIER, l'ancien Président directeur général du géant multimédia Vivendi Universal (VU), a passé la nuit du 21 au 22 juin 2004 à la brigade financière du 13ème arrondissement de Paris où il a été placé en garde à vue.
A cette occasion, M. MESSIER, ex-icône du management et du multimédia "made in France", aurait été interrogé sur "le rachat de 21 millions de titres de VU entre le 17 septembre et le 2 octobre 2001 pour la somme de 1,7 milliard d'euros."
L'ancien "grand patron" français pourrait être poursuivi pour "diffusion de fausses informations" sur la situation des filiales du groupe, et ce en période de complète incertitude liée aux attentats du 11 septembre 2001 contre les Etats-Unis.
M. MESSIER est également soupçonné de "manipulation de cours", la réglementation boursière interdisant le rachat d'actions quinze jours avant la publication des résultats financiers d'une entreprise, ce qui n'aurait pas été respecté dans le cas présent.
L'information judiciaire qui a entraîné le placement en garde à vue de Jean-Marie MESSIER en ce début d'été 2004 a été ouverte il y a deux ans à la suite d'une plainte de l'APPAC (Association des petits porteurs actifs).
Selon l'Agence France Presse, M. MESSIER pourrait être déféré mardi soir au pôle financier du Tribunal de grande instance de Paris dans le 9ème arrondissement, en vue d'une éventuelle mise en examen.
Pour mémoire, l'ancien directeur financier de VU, Guillaume HANNEZO, a lui-même été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire le 7 juin dernier pour "délit d'initié", "diffusion de fausses informations aux marchés" et "complicité de manipulation de cours."
La délinquance en col blanc va-t-elle finir sa course dans les filets de la justice française ou trouvera-t-elle la faille ?
Jean-Marie MESSIER, l'ancien Président directeur général du géant multimédia Vivendi Universal (VU), a passé la nuit du 21 au 22 juin 2004 à la brigade financière du 13ème arrondissement de Paris où il a été placé en garde à vue.
A cette occasion, M. MESSIER, ex-icône du management et du multimédia "made in France", aurait été interrogé sur "le rachat de 21 millions de titres de VU entre le 17 septembre et le 2 octobre 2001 pour la somme de 1,7 milliard d'euros."
L'ancien "grand patron" français pourrait être poursuivi pour "diffusion de fausses informations" sur la situation des filiales du groupe, et ce en période de complète incertitude liée aux attentats du 11 septembre 2001 contre les Etats-Unis.
M. MESSIER est également soupçonné de "manipulation de cours", la réglementation boursière interdisant le rachat d'actions quinze jours avant la publication des résultats financiers d'une entreprise, ce qui n'aurait pas été respecté dans le cas présent.
L'information judiciaire qui a entraîné le placement en garde à vue de Jean-Marie MESSIER en ce début d'été 2004 a été ouverte il y a deux ans à la suite d'une plainte de l'APPAC (Association des petits porteurs actifs).
Selon l'Agence France Presse, M. MESSIER pourrait être déféré mardi soir au pôle financier du Tribunal de grande instance de Paris dans le 9ème arrondissement, en vue d'une éventuelle mise en examen.
Pour mémoire, l'ancien directeur financier de VU, Guillaume HANNEZO, a lui-même été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire le 7 juin dernier pour "délit d'initié", "diffusion de fausses informations aux marchés" et "complicité de manipulation de cours."
La délinquance en col blanc va-t-elle finir sa course dans les filets de la justice française ou trouvera-t-elle la faille ?
